X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

LIVRE II. — COSTUME USIKL 17tf
doclorihus quihuscumque cl. canonicis enthcdrnlihus : Snrm
(longreg. ttiluniii 13 Februarii Ui2;> cl 20 Noveinbris J02S. Posstmt
luuien cunonici niissnin celcbrnre cum nnnulo tuirco cl «le
rigoiv uli sed sine gemma et sine nli(|im effigie : Sacra Congreg.
Itituuin. 4 niigusli MHM. »
« Or. puisque les lois prohibitives, selon les règles établies pnr
le droit, doivent être restreintes, odia sunt restringenda, et ne
peuvent sVdenilre nu delà du rus qu'elles visent : « Lox enim quod
vnluil expressit ; ipiod non expressif. nec voluisse diei débet» ; il
s'ensuit que lu défense laite aux docteurs de porler l'aimenu pendant
la misse ne saurait s'étendre, comme pour les prolouolnirrs,
aux autres actes soit de la vie ecelésiuslique. soil de la vie civile,
e! que, parlanl. ils peuvent le porler habituelleinenl > (Journal
du Droit. 1NS2. p. 83;.
v L'un dernier, à ln page 2#;>. nous avons cru pouvoir adopter
une opinion différente, eu nous basant sur lu décision de In
S. Congrégnlion des Hiles, du 23 mai JHMï, qui esl ainsi conçue :
« riruiu sacenbd.es (pii gradus sunl assecuti in aliqua Academin
vel Universilale farultaleiu tribuenle gestuudi annulum, boc gestare
ipiennl iu digilo, sicul prnelnli geslnnl — Hesp. : Permittitur,
praeterqiiam in ecciesinsticis funclionibus juxla alias derreta.
» (S. 11. C., n. o03b.)
« La S. (Congrégation des Hiles est encore plus précise dnns le
décret que nous donnons. Elle déclare qu'il n'est pas permis de
parler l'anneau ni pendant ln messe, ni pendant les nulres fonctions
ecclésiastiques :