X. BARBIER DE MONTAULT 5^5 - Pot-pourri

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« Il esl convenable d'èlre on grande loimo do clouil, r'osl-ù-dire
entièrement en unir. CrprixInuL celle tenue n'est obligatoire que
j M m r les 1res proches parents. Les nulres sont censés ifnvoir pas
eu le temps • le* fnire fnire «les hnhils de ilouil. V\\ ecelésiuslique
pept avoir en hiver une douillelle ou un mnnleuu propre sur su
soutnue; mais nous croyons qu'une simple pèlerine n'est pas de
mise dans celte circonstance. Le vêlement le plus convenable serait,
si l'usage l'autorisait, le manteau de cérémonie. » ( Politesse
et eonrrnnnrcx ecclésiastiques.) Le eoslume. d'après la S. (,ongrégal
ion des Kilos, sern le vêtement ordinniro. in liabilu ordlnarto.
.l'emprunte n YAatl du clenjè lu solution suivnulo donnée
en ISSI \\ un de ses abonnés: on ne peul parler plus sagement et
docleinenl el il esl juste de citer les auteurs qui soutiennent les
vruis principes.
Les |né 1res ipii nssislent à la sépulture tic leurs parents ou de leurs
amis doivent-ils rester au clueiir en Hirplis. ou bien peuvent-ils conduire
le deuil en hahils ordinaires avec leurs parents Plusieurs de
mes confrères soutiennent qu'on est obligé de suivre le clueur cl
d'avoir le surplis.
Plusieurs auteurs «mlicmiciil (pie le prêtre qui assiste aux funérailles
doil toujours être en surplis et suivre te clueur. Ken volet, dans
son Manuel sur les sépultures, dil que* c'est un abus » d'agir autrement.
Ih' la Croix, dans son ouvrage iulilulé: Parfait eerlcsiasliqw.
r>[ encore plus exprès. Voici ses pan des : « Tous les pareals et ami*
du défiuil. qui sont ecclésiastiques, doivent èlre prêts ù l'heure assignée
pour le convoi, el marcher tous en surplis au rang du clergé: le
confesseur sera aussi en surplis avec le clergé, sans porler de gants
ni de crêpe, comme font les laïques, ce (pii lui esl défendu par le<
conciles el canons. » La Xnnrrlle rente thrnloifiqne dit également que
les pré Ires (pii assistent aux' funérailles d'un parent doivent se tenir
au clueur en surplis.
Ce seiilinieul esl Irop sévère. L'Kglise peruiel aux' prêtres el même
aux religieux qui ven Ion I accompagner un défunt, «h» marcher derrière
le cercueil en hahil ordinaire. Kn Hiil. ou exposa n ln S. Congrégation
des Kilos que les chanoines d'une collégiale du diocèse do Camerino.
en Omhrie. assistaient proeessionnelIonienI ol avec la croix du
chapitre aux funérailles des défauts sans y avoir été convoqués, el
l'on demandait si cela était permis. La S. Congrégnlion répondit