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GNOMICA OIHENARTIANA
en 1557, cuyo padre, Inigo de Ezponda, fue secretario de la rina loana de
Albret, siendo asesinado a sangre fría en 1594 después de la toma de Saint-
Palais, y muerto en Burdeos en 1595, autor de una serie de obras publicadas
el siglo XVI, entre las cuales se cuentan diversas traducciones del griego al
latín, así como también el de su hermano Henri, ahijado de Enrique IV,
nacido en 1568 y muerto en Toulouse en 1643, quien abjuró del protestantismo
en 1595, llegando a ser Obispo, y autor también de diversas obras publicadas,
entre ellas algunas en latín13.
5. Se puede decir sin temor a error que Oihenart tuvo una especial
preocupación por obtener la más amplia información posible del País Vasco
del sur de los Pirineos, el cual se movía cada vez con más impulso, sobre
todo después de la pérdida de la Alta Navarra, dentro de la órbita e influencia
de los reyes de las Españas. Y evidentemente tuvo una información, al menos
dettes. Pour le mettre á même de payer ses créanciers, Henri IV le nomma lieutenant général
en la sénéchaussée de La Rochelle. Le roi s'était alors converti au catholicisme, et Jean, en
habile courtisan, suivit l'exemple du maitre. Les Rochelois, qui supportaient impatiemment
son autorité, se soulevèrent contre l'apostat et le contraignirent á resigner sa charge. Sponde
devint maitre des requêtes et mourut misérable et obscur. On a de lui: Homeri poematum
versio latina ac notæ perpetuæ (Bale, 1583, in-fol.; Paris 1606, in-fol.); Hesiodi Opera et Dies,
grec et latin, avec des commentaire (La Rochelle, 1592, in-8°); la Logique d'Aristote, grec
et latin, avec des notes marginales (Bale et Francfort, 1591, in-8°); Recueil des Remontrances
de Despeisses et de Pibrac (La Rochelle, 1592, in-12); Déclaration des principaux motifs qui
induissent le sieur de Sponde à s'unir `à l'Eglise catholique (Melun, 1594, in-8°); Réponse au
traité de Tb. de Bèze Des marques essentielles de l'Eglise (Bordeaux, 1595, in-8°), ouvrage
posthume».
En Grand Larousse encyclopédique (en dix volumes), tome neuvième, Paris 1964, se dice
que «Outre des éditions d'Homère, d'Hésiode et de la Logique d'Aristote, il a laissé une
oeuvre poétique peu abondante, composée de sonnets, qui est un excellent modèle de poésie
baroque á la fin du XVIe s. II ne subir pas directement, comme d'Aubigné et du Bartas,
l'influence de la Pléade; humaniste et biblique, il reste "essentiellement protestant par le
meilleur de son ceuvre". Celle-ci, longtemps oubliée, a été remise á l'honneur au XX` s. par
le critique anglais Alan Boase, puis par Thierry Maulnier et Marcel Arland».
No cabe duda de que la memora de este humanista suletino, rara avis, debe ser
recuperada de la situación de ostracismo en la que está inmersa en el círculo de los estudios
vascos, y al mismo debe situársele en el rango que le corresponde como hijo del País, cuya
aportación fue hecha en un momento crucal para nuestra histora.
13 Cfr. lo que se recoge en Grand Dictionnaire Universel de Pierre Iarouse, tome XIV,
edición de hacia 1865. Dice así: «SPONDE (Henrni DE), prélat, frère du précédent, né á
Mauléon en 1568, mort á Toulouse en 1643. Filleul de Henri IV et élevé aux frais du roi
au collége d'Orthez, Sponde accompagna Du Bartas dans son ambassade d'Ecosse, étuda
ensuite le droit, se fit une réputation comme avocat et fut nommé maitre des requêtes. Ayant
abjuré le protestantisme en 1595, après avoir lu les livres de Du Perron et de Baronius, il
entra dans les ordres á Rome, où il avait suivi le cardinal de Sourdis, devint évêque de
Pamiers et se montra l'ardent ennemi de ses anciens coreligionnaires. II légua sa bibliothèque
aux minimes de Toulouse. Ses principaux ouvrages sont: les Cimetières sacrés (Bordeaux,
1596, in-12; Paris, 1600, in-12), traduit en latin par lui-même (Paris, 1638, in-4°); Annales
ecclesiastici Baronii in epitomen reducti (Paris 1602, in-fol.); Annales sacri, a mundi creatione
usque ad ejusdem redemptionem (Paris, 1637, in-fol.); Annalium Baronii continuatio ab anno
1197 ad annum 1640 (Paris 1639, 2 vol. in-fol.), souvent réimprimé; Ordonnances synodales
(Toulouse, 1630, in-8°). La Monnoye lui attribue un opuscule satirique, intitulé: le Magot
genevois (1613, in-8°)».
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