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370 NOTES DU QUATRIÈME." •LIFRE". contradiction dé la part de Quinte-Curce, à moins qu'on ne lise 'âecies cenlena milita au lieu-de ducenta millia. Il à dit en effet au cbap.-ix que Darius avait réuni une armée deux fois plus considérable que celle, qu'il avait a Issus." Or, d'après le'.dénombrement qu'en fait Quinte-Curce au chapitre xx du livre III, l'armée Perse qui combattit en Gilicie s'élevait à deux cent-cinquante mille fantassins et à soixante-un mille cavaliers. Avrien porté à un million de fantassins les forces des Perses à Arbèles _ K Page 298 : 1. Âbseniiam Darii. Allusion à la bataille du Granique. - —- 2. Angustias ïocorum. Allusion .à la bataille d'Issus, livrée dans les défilés de la Cilicie. . ••m T Page 300 t 1. Solem Milhren. Les Perses adoraient le soleil sous le nom dé Mithra. + + Page302:l..Ferbeïwzs. La verveine, dit Servîus, dans son commentaire sur l'Enéide^ livre XII, 120, est une plante saorée, le romarin, selon beaucoup d'auteurs, cueillie dans un endroit sacré, et dont se couronnaient les féciaux lorsqu'ils devaient faire un traité ou déclarer la guerre; puis, par extension, on a appelé verbenas tous les rameaux sacrés, comme ceux du laurier, de l'olivier et du myrte. • -^- 2. Pr&ibat preces régi. C'est une coutume romaine que Quinte- Curce attribue aux Macédoniens. Le prêtre prononçait une formule" de prière que le suppliant répétait" après lui. - Page 306 ; 1. Âgema. L'élite de Ta cavalerie macédonienne se cornposait de huit escadrons d'hétaires (Iraîjooï» compagnons du •roi). Le premier :de ces escadrons, l'escadron royal, s'appelait àyopa. ÏTT- TÏ&GJV : —. 2. Ârgyraspides. Les Agyraspides, eôrps d'infanterie d'élite, ainsi appelés à cause de leurs boucliers d'argent [apyvpoc^ OLOTZIç-) . Page 308 : 1. Malcon. Forme de génitif grec (Maitctç, MSC/.UOJV). LesMalliens étaient un peuple de laTbessalie. - —- 2. Âgriani* Les Agriens,:peuple delà Macédoine septentrionale." .— 3. Sagiltaïiis CretensibuS) L*26 Cretois étaient renommés pour leur habileté à tirer de l'arc. ' — 4. Ultimos ordines avertit a fronte. C'est ce que confirme Amen' en ces."termes, Livre III, ehap.'xn, 'Ené-rxlé Sèxcct èevrépw Tâ£tv,

370 NOTES DU QUATRIÈME." •LIFRE".<br />

contradiction dé <strong>la</strong> part <strong>de</strong> Quinte-Curce, à moins qu'on ne lise 'âecies<br />

cenlena milita au lieu-<strong>de</strong> ducenta millia. Il à dit en eff<strong>et</strong> au cbap.-ix<br />

que Darius avait réuni une armée <strong>de</strong>ux fois plus considérable que<br />

celle, qu'il avait a Issus." Or, d'après le'.dénombrement qu'en fait<br />

Quinte-Curce au chapitre xx du livre III, l'armée Perse qui combattit<br />

en Gilicie s'élevait à <strong>de</strong>ux cent-cinquante mille fantassins <strong>et</strong> à<br />

soixante-un mille cavaliers. Avrien porté à un million <strong>de</strong> fantassins<br />

les forces <strong>de</strong>s Perses à Arbèles<br />

_ K<br />

Page 298 : 1. Âbseniiam Darii. Allusion à <strong>la</strong> bataille du Granique.<br />

- —- 2. Angustias ïocorum. Allusion .à <strong>la</strong> bataille d'Issus, livrée<br />

dans les défilés <strong>de</strong> <strong>la</strong> Cilicie. . ••m<br />

T<br />

Page 300 t 1. Solem Milhren. Les Perses adoraient le soleil sous<br />

le nom dé Mithra.<br />

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Page302:l..Ferbeïwzs. La verveine, dit Servîus, dans son commentaire<br />

<strong>sur</strong> l'Enéi<strong>de</strong>^ livre XII, 120, est une p<strong>la</strong>nte saorée, le romarin,<br />

selon beaucoup d'auteurs, cueillie dans un endroit sacré, <strong>et</strong> dont se<br />

couronnaient les féciaux lorsqu'ils <strong>de</strong>vaient faire un traité ou déc<strong>la</strong>rer<br />

<strong>la</strong> guerre; puis, par extension, on a appelé verbenas tous les<br />

rameaux sacrés, comme ceux du <strong>la</strong>urier, <strong>de</strong> l'olivier <strong>et</strong> du myrte.<br />

• -^- 2. Pr&ibat preces régi. C'est une coutume romaine que Quinte-<br />

Curce attribue aux Macédoniens. Le prêtre prononçait une formule"<br />

<strong>de</strong> prière que le suppliant répétait" après lui.<br />

- Page 306 ; 1. Âgema. L'élite <strong>de</strong> Ta cavalerie macédonienne se cornposait<br />

<strong>de</strong> huit escadrons d'hétaires (Iraîjooï» compagnons du •roi).<br />

Le premier :<strong>de</strong> ces escadrons, l'escadron royal, s'appe<strong>la</strong>it àyopa. ÏTT-<br />

TÏ&GJV<br />

: —. 2. Ârgyraspi<strong>de</strong>s. Les Agyraspi<strong>de</strong>s, eôrps d'infanterie d'élite,<br />

ainsi appelés à cause <strong>de</strong> leurs boucliers d'argent [apyvpoc^ OLOTZIç-)<br />

. Page 308 : 1. Malcon. Forme <strong>de</strong> génitif grec (Maitctç, MSC/.UOJV).<br />

LesMalliens étaient un peuple <strong>de</strong> <strong>la</strong>Tbessalie. -<br />

—- 2. Âgriani* Les Agriens,:peuple <strong>de</strong>là Macédoine septentrionale."<br />

.— 3. Sagiltaïiis Cr<strong>et</strong>ensibuS) L*26 Cr<strong>et</strong>ois étaient renommés pour<br />

leur habil<strong>et</strong>é à tirer <strong>de</strong> l'arc. '<br />

— 4. Ultimos ordines avertit a fronte. C'est ce que confirme Amen'<br />

en ces."termes, Livre III, ehap.'xn, 'Ené-rxlé Sèxcct èevrépw Tâ£tv,

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