134 EMPREINTE URBAINE

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152 EMPREINTE URBAINE - Les nouveaux espaces urbains La façade sud du corps principal résulte d’un remaniement intervenu probablement à la fin du chantier comme le confirme l’étude de la charpente de comble (62) : elle était originellement prévue en retrait vers nord, et le mur actuel correspond à une avancée gagnée sur l’espace de la cour (63) . Ce corps de bâtiment principal est jouxté à l’ouest par deux courtes ailes perpendiculaires, bordant la rue des Huguenots, une en retour sur la cour (au sud) et l’autre donnant sur le jardin (au nord). L’aile sud, peutêtre à usage d’offices, se remarque notamment pour sa charpente semblable à celle du corps principal, mais surtout pour sa salle en rez-de-chaussée couverte de deux voûtes d’ogives moulurées de cavets reposants sur des culots géométriques (64) . L’aile en retour nord correspond visiblement à un remaniement intervenu rapidement après l’édification du corps de logis principal (65) ; sa partie inférieure ouvrait sur le jardin par une série d’arcades pleincintre formant peut-être un portique. Le gros-œuvre de l’ensemble est constitué de parements de briques liées par des joints rubanés. Certaines boutisses sont foncées afin de créer un dessin de losanges noirs, à l’image des appareils mixtes polychromes ornant les résidences aristocratiques du val de Loire (aile Louis XII du château de Blois, château de Gien reconstruit pour Anne de Beaujeu, etc.). Le motif varie seulement sur la façade sur jardin, où ces losanges sont imbriqués à l’intérieur de losanges plus grands. La pierre est réservée aux chaînes d’angles, aux corniches et aux encadrements de baies moulurés de doubles tores séparés par des gorges. Le décor sculpté des façades extérieures est formé de motifs italianisants : frises d’oves avec ou sans dards, de feuilles d’eau, ou de rosaces ornant les corniches des tourelles d’escaliers ou les culs-delampe des échauguettes. Sur l’escalier d’honneur (tourelle ouest), ces motifs sont encore mêlés à des éléments issus du répertoire « flamboyant » : limon orné d’arcades en anse de panier portées par des colonnettes engagées sur culots feuillagés ou figurés, à chapiteaux corinthiens et aux fûts animés de cannelures torses (FIG. 6) ; noyau sculpté d’une arcature trilobée avec colonnettes engagées sur bases prismatiques (FIG. 7), ressemblant beaucoup à celui de l’escalier du château de Chaumont-sur-Loire (vers 1510) ; motifs de tresse à œillets sur le noyau et le limon ; voûte à huit quartiers dont les nervures s’élancent depuis le noyau (FIG. 8), rappelant la voûte du grand escalier du logis Louis XII à Blois (vers 1500). Ainsi, de par son plan, ses distributions et son décor, la « Grande maison » de François Brachet constitue un des exemples les plus FIG. 9 intéressants de la première Renaissance orléanaise. Edifié sur un grand terrain vierge, le constructeur ne fut pas gêné par les contraintes parcellaires, lui permettant ainsi de bien détacher de la voirie ce vaste hôtel qui s’apparente ici à un manoir. (62) Dates d’abattage des chevrons couvrant cette avancée : 1505-1506[d]. Hôtel de Janot le Bouteiller, 17 rue de la Bretonnerie façade antérieure (photo Laurent Mazuy) (63) À l’ouest, l’échauguette a été englobée dans la nouvelle toiture. À l’est, la nouvelle façade est venue s’appuyer contre l’échauguette. Afi n d’effectuer un chaînage d’angle entre ces deux éléments, l’une des assises du cul-de-lampe fut modifi ée : les nouvelles pierres furent sculptées d’une frise de rosaces, alors qu’il s’agissait originellement d’oves (visibles à l’extérieur). (64) Il reste diffi cile de voir si les clefs de voûtes sculptées aux armes de Brachet et de sa femme Françoise Ruzé sont authentiques ou si elles ont été plaquées ultérieurement. (65) Comme l’indique le fragment de corniche sculpté d’une cordelière sur la façade nord du corps principal qui a été masqué par la construction du comble de cette aile en retour.

Les autres demeures (hôtels de Jean Brachet, de Janot le Bouteiller, de Jacques Groslot, etc.) Il est intéressant de remarquer que Jean Brachet le Jeune, seigneur de Franville et secrétaire du roi, possédait lui aussi une demeure rue de la Bretonnerie à proximité immédiate de la « Grande maison » de son oncle François Brachet. Ce « logis et jardin appelé le Grand jardin », se trouvait dans l’îlot voisin, compris entre la rue des Huguenots et l’ancienne rue des Trois-Voisins (66) . Cette demeure possédait également un vaste jardin s’étendant au nord jusqu’à l’enceinte, à l’emplacement duquel s’installera au 17 e siècle le couvent de l’Oratoire. L’habitation, dont Jean Brachet fit ordonner quelques travaux de réaménagements en 1546, correspond sûrement en partie aux bâtiments encore visibles aux 30 rue de la Bretonnerie et 1 rue des Huguenots (67) . C’est également dans ce secteur que seront édifiés deux des hôtels les plus notoires de la seconde Renaissance orléanaise. L’hôtel de Janot le Bouteiller (FIG. 9), sommelier ordinaire du roi et proche de François I er (mort en 1544), 17 rue de la Bretonnerie, présente une façade unitaire venue masquer des habitations préexistantes dont les anciens murs pignons ont été conservés dans la nouvelle construction en guise de refends (68) . Edifié entre 1543-1547, ce vaste hôtel comportait également à l’est un pavillon d’entrée et un jardin ouvrant sur la rue Saint-Anne (69) . L’hôtel à l’appareil brique et pierre situé aux 3-5 place de l’Étape (VOIR P. FIG. 13) 13), en avant de la rue de la Bretonnerie, fut élevé pour Jacques Groslot, fils d’un marchand-tanneur, seigneur de l’Isle et de Champbaudoin, familier de Marguerite de Navarre, qui cumulait les charges de bailli d’Orléans, de conseiller au grand conseil de Paris, et de chancelier d’Alençon (70) . Le terrain où s’élève l’hôtel était composé de deux jardins appartenant initialement à Anne Brachet, femme de Germain Rebours, avocat au parlement, qui furent acquis par Jacques Groslot et sa femme Jeanne Garrault suite à plusieurs démarches débutées en 1543 et qui aboutirent en 1545 (71) . Le jardin ouvrant sur la place de l’Etape servit à la construction de l’hôtel, probablement achevé vers 1552-1553, tandis que l’autre jardin conservera sa fonction. Le corps de logis était précédé d’une cour séparée de la rue par un mur écran, qui participait à l’aménagement de la grande place de « l’estappe au vin » récemment créée et dont la rive opposée était bordée par la nouvelle façade de l’église paroissiale Saint- Michel reconstruite entre 1534 et 1550. Comme dans le cas de l’hôtel de François Brachet antérieur de quelques décennies, les constructeurs de cet hôtel ont pu bénéficier d’un vaste espace permettant la mise en œuvre d’un bâtiment au plan original, bien détaché de la rue, et qui s’apparente ainsi à une demeure rurale. Dans la première moitié du 16 e siècle, la présence de grands terrains libres dans ce quartier a donc favorisé l’édification de vastes hôtels pour de hauts dignitaires, mais également la construction de demeures situées dans la partie occidentale de la rue de la Bretonnerie ou dans les rues voisines (72) . Malgré l’implantation des couvents et celle de grands hôtels au 17 e siècle (notamment rue d’Escures), ce quartier au caractère principalement résidentiel conservera l’image d’un secteur aéré par de vastes jardins. ! (66) Rue aujourd’hui disparue qui allait de la rue de la Bretonnerie au boulevard Alexandre-Martin, et qui était située entre le couvent des Oratoriens et celui des Ursulines. Le palais de Justice fut construit à l’emplacement de cette ancienne voie (voir abbé Louis Gaillard, Les anciens noms des rues d’Orléans, 1989, 68 p, manuscrit déposé aux Archives départementales du Loiret, p. 45). (67) 30 rue de la Bretonnerie : escalier en vis en pierre avec noyau à main-courante torse ; façades sur cour avec portes et fenêtres en arc plein-cintre ou croisées à larmier. Au 1 rue des Huguenots : corps de bâtiment principal avec ouvertures ornées de petits disques, plafond à poutres moulurés ; mur de clôture avec portail et porte piétonne ; galerie en pierre et en pan-de-bois ; tourelle d’escalier en vis avec chambre haute ; puits à eau, etc. (68) Lors de la construction de l’hôtel en 1543, ces deux anciennes maisons séparées par un jardin sont mentionnées dans un censier : « la maison ou demeure Jehan Tricot, au sommelier Janot. Une place et jardin que l’on fait a present bastir, au mesme. Une aultre maison ou demeure ledict sommelier Janot, a lui » (voir étude dans : JARRY E. 1928 : p.84-89). (69) Voir infra, Les demeures de la seconde Renaissance des élites orléanaises ou le succès de l’architecture « à l’antique » (vers 1535-1560) par C. ALIX et J. NOBLET. (70) Cet édifi ce qui abrite une partie de la mairie d’Orléans depuis 1738 a subi une sévère restauration dans la seconde moitié du 19 e siècle. (71) Pour l’hôtel Groslot, voir les monographies dans : JARRY E. 1914 ; ROUGERIE 1998 : t. 1, p. 43-53. Voir aussi infra, L’architecture domestique de la seconde Renaissance à Orléans (vers 1535-1560) par C. ALIX et J. NOBLET (72) Voici les exemples les plus remarquables : 13 rue de la Bretonnerie/angle rue Croix-de-Malte (baies des façades et pilastre d’angle sous la toiture) ; 15 rue de la Bretonnerie ; 31 rue de la Bretonnerie/25 rue Saint-Anne (porte et jours d’imposte) ; 60 et 62 rue de la Bretonnerie (façades sur cour avec arcade de porte cochère et baies à bases prismatiques) ; 57 rue de la Bretonnerie (tourelle d’escalier brique et pierre) ; anciennement 1 rue d’Escures, maison dite de la Grande-Babylone, galerie à arcades plein-cintre à colonnes ioniques (BUZONNIERE 1849 : t. 2, p. 237 ; BIEMONT 1880 : p. 400 ; LEPAGE 1901 : p. 240), 17 rue d’Escures, 12 rue d’Escures (façade sur jardin et cabinet voûté, vers 1520-1530) ; 8 place du Martroi (corps de bâtiment occidental avec pignon en brique à décor de losanges noirs) ; hôtel 5 rue de Gourville (façades sur cour et sur jardin, tourelle d’escalier brique et pierre) ; hôtel 15 rue de Gourville (façades sur rue et sur cour) ; maison dite de Gourville rue de Gourville (détruite en 1899 ; 1 photographie : Orléans, Musée des Beaux-Arts, inv. 2266) ; 10 rue des Fauchets ; 105 rue Bannier (petite maison avec façade à parement en moyen appareil et petit jour plein-cintre) ; maison anciennement 4 rue Bannier, façade sur cour représentée au 19 e siècle sur des aquarelles de P. Bernard ou d’H. Chouppe (Orléans, Musée des Beaux-Arts, inv. 2621 et inv. 434). 153

Les autres demeures<br />

(hôtels de Jean Brachet, de Janot le Bouteiller,<br />

de Jacques Groslot, etc.)<br />

Il est intéressant de remarquer que Jean Brachet le Jeune,<br />

seigneur de Franville et secrétaire du roi, possédait lui aussi<br />

une demeure rue de la Bretonnerie à proximité immédiate<br />

de la « Grande maison » de son oncle François Brachet.<br />

Ce « logis et jardin appelé le Grand jardin », se trouvait<br />

dans l’îlot voisin, compris entre la rue des Huguenots<br />

et l’ancienne rue des Trois-Voisins (66) . Cette demeure<br />

possédait également un vaste jardin s’étendant au nord<br />

jusqu’à l’enceinte, à l’emplacement duquel s’installera au<br />

17 e siècle le couvent de l’Oratoire. L’habitation, dont Jean<br />

Brachet fit ordonner quelques travaux de réaménagements<br />

en 1546, correspond sûrement en partie aux bâtiments<br />

encore visibles aux 30 rue de la Bretonnerie et 1 rue des<br />

Huguenots (67) .<br />

C’est également dans ce secteur que seront édifiés deux<br />

des hôtels les plus notoires de la seconde Renaissance<br />

orléanaise. L’hôtel de Janot le Bouteiller (FIG. 9), sommelier<br />

ordinaire du roi et proche de François I er (mort en 1544),<br />

17 rue de la Bretonnerie, présente une façade unitaire venue<br />

masquer des habitations préexistantes dont les anciens murs<br />

pignons ont été conservés dans la nouvelle construction<br />

en guise de refends (68) . Edifié entre 1543-1547, ce vaste<br />

hôtel comportait également à l’est un pavillon d’entrée et<br />

un jardin ouvrant sur la rue Saint-Anne (69) .<br />

L’hôtel à l’appareil brique et pierre situé aux 3-5 place de<br />

l’Étape (VOIR P. FIG. 13) 13), en avant de la rue de la Bretonnerie,<br />

fut élevé pour Jacques Groslot, fils d’un marchand-tanneur,<br />

seigneur de l’Isle et de Champbaudoin, familier de Marguerite<br />

de Navarre, qui cumulait les charges de bailli d’Orléans,<br />

de conseiller au grand conseil de Paris, et de chancelier<br />

d’Alençon (70) . Le terrain où s’élève l’hôtel était composé de<br />

deux jardins appartenant initialement à Anne Brachet, femme<br />

de Germain Rebours, avocat au parlement, qui furent acquis<br />

par Jacques Groslot et sa femme Jeanne Garrault suite à<br />

plusieurs démarches débutées en 1543 et qui aboutirent en<br />

1545 (71) . Le jardin ouvrant sur la place de l’Etape servit à la<br />

construction de l’hôtel, probablement achevé vers 1552-1553,<br />

tandis que l’autre jardin conservera sa fonction. Le corps de<br />

logis était précédé d’une cour séparée de la rue par un mur<br />

écran, qui participait à l’aménagement de la grande place de<br />

« l’estappe au vin » récemment créée et dont la rive opposée<br />

était bordée par la nouvelle façade de l’église paroissiale Saint-<br />

Michel reconstruite entre 1534 et 1550. Comme dans le cas<br />

de l’hôtel de François Brachet antérieur de quelques décennies,<br />

les constructeurs de cet hôtel ont pu bénéficier d’un vaste<br />

espace permettant la mise en œuvre d’un bâtiment au plan<br />

original, bien détaché de la rue, et qui s’apparente ainsi à une<br />

demeure rurale.<br />

Dans la première moitié du 16 e siècle, la présence de grands<br />

terrains libres dans ce quartier a donc favorisé l’édification<br />

de vastes hôtels pour de hauts dignitaires, mais également la<br />

construction de demeures situées dans la partie occidentale<br />

de la rue de la Bretonnerie ou dans les rues voisines (72) .<br />

Malgré l’implantation des couvents et celle de grands hôtels<br />

au 17 e siècle (notamment rue d’Escures), ce quartier au<br />

caractère principalement résidentiel conservera l’image d’un<br />

secteur aéré par de vastes jardins. !<br />

(66) Rue aujourd’hui disparue qui allait de la rue de la Bretonnerie au boulevard Alexandre-Martin, et<br />

qui était située entre le couvent des Oratoriens et celui des Ursulines. Le palais de Justice fut<br />

construit à l’emplacement de cette ancienne voie (voir abbé Louis Gaillard, Les anciens noms des<br />

rues d’Orléans, 1989, 68 p, manuscrit déposé aux Archives départementales du Loiret, p. 45).<br />

(67) 30 rue de la Bretonnerie : escalier en vis en pierre avec noyau à main-courante torse ; façades sur<br />

cour avec portes et fenêtres en arc plein-cintre ou croisées à larmier. Au 1 rue des Huguenots :<br />

corps de bâtiment principal avec ouvertures ornées de petits disques, plafond à poutres moulurés<br />

; mur de clôture avec portail et porte piétonne ; galerie en pierre et en pan-de-bois ; tourelle<br />

d’escalier en vis avec chambre haute ; puits à eau, etc.<br />

(68) Lors de la construction de l’hôtel en 1543, ces deux anciennes maisons séparées par un jardin<br />

sont mentionnées dans un censier : « la maison ou demeure Jehan Tricot, au sommelier Janot.<br />

Une place et jardin que l’on fait a present bastir, au mesme. Une aultre maison ou demeure ledict<br />

sommelier Janot, a lui » (voir étude dans : JARRY E. 1928 : p.84-89).<br />

(69) Voir infra, Les demeures de la seconde Renaissance des élites orléanaises ou le succès de l’architecture<br />

« à l’antique » (vers 1535-1560) par C. ALIX et J. NOBLET.<br />

(70) Cet édifi ce qui abrite une partie de la mairie d’Orléans depuis 1738 a subi une sévère restauration<br />

dans la seconde moitié du 19 e siècle.<br />

(71) Pour l’hôtel Groslot, voir les monographies dans : JARRY E. 1914 ; ROUGERIE 1998 : t. 1, p. 43-53.<br />

Voir aussi infra, L’architecture domestique de la seconde Renaissance à Orléans (vers 1535-1560)<br />

par C. ALIX et J. NOBLET<br />

(72) Voici les exemples les plus remarquables : 13 rue de la Bretonnerie/angle rue Croix-de-Malte (baies des<br />

façades et pilastre d’angle sous la toiture) ; 15 rue de la Bretonnerie ; 31 rue de la Bretonnerie/25 rue<br />

Saint-Anne (porte et jours d’imposte) ; 60 et 62 rue de la Bretonnerie (façades sur cour avec arcade de<br />

porte cochère et baies à bases prismatiques) ; 57 rue de la Bretonnerie (tourelle d’escalier brique et<br />

pierre) ; anciennement 1 rue d’Escures, maison dite de la Grande-Babylone, galerie à arcades plein-cintre<br />

à colonnes ioniques (BUZONNIERE 1849 : t. 2, p. 237 ; BIEMONT 1880 : p. 400 ; LEPAGE 1901 : p. 240),<br />

17 rue d’Escures, 12 rue d’Escures (façade sur jardin et cabinet voûté, vers 1520-1530) ; 8 place du<br />

Martroi (corps de bâtiment occidental avec pignon en brique à décor de losanges noirs) ; hôtel 5 rue<br />

de Gourville (façades sur cour et sur jardin, tourelle d’escalier brique et pierre) ; hôtel 15 rue de Gourville<br />

(façades sur rue et sur cour) ; maison dite de Gourville rue de Gourville (détruite en 1899 ; 1 photographie<br />

: Orléans, Musée des Beaux-Arts, inv. 2266) ; 10 rue des Fauchets ; 105 rue Bannier (petite<br />

maison avec façade à parement en moyen appareil et petit jour plein-cintre) ; maison anciennement<br />

4 rue Bannier, façade sur cour représentée au 19 e siècle sur des aquarelles de P. Bernard ou<br />

d’H. Chouppe (Orléans, Musée des Beaux-Arts, inv. 2621 et inv. 434).<br />

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