ETTC'2003 - SEE
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La qualification du durcissement repose alors sur : • La mise en place de modèles numériques « briques de base » en phase de définition pour des simulations permettant d’évaluer et de définir la protection. • L’étalonnage des modèles par des essais partiels sur équipement ou partie de système intégré en phase de développement. • Le contrôle de la solution préconisée et sa mise à jour éventuelle. Le besoin en données réelles pour l’optimisation nécessite une approche jumelée à partir de simulations et mesures. Compte tenu des délais de plus en plus serrés du programme, de la disponibilité des éléments ou équipements pour les essais, il y a de grande chance que l’impact soit effectif au niveau d’un des premiers exemplaires d’une série. Avec cette logique, la démonstration est assise sur des données réelles du système. Le gain doit s’améliorer si la logique de durcissement s’accompagne d’une démarche probabiliste. 12. CONCLUSION Cet article présente des réflexions et avancées dans le domaine du processus de qualification du durcissement. Les étapes clés du processus de qualification sont présentées et discutées. L’enjeu repose sur la prévision des actions de durcissement tenant compte de la réduction des coûts et délais de développement de programme. La réalisation de la protection suit de plus en plus une logique fondée sur une réalité objective que causale. Au final, le gain et effectif. Cependant des méthodes et banques de données doivent êtres mise en places pour garantir l’assise de la démarche. 13. REFERENCES [1] C. Carel, G. Prévost - « Intérêt et méthodologie pour une déclinaison des contraintes jusqu’au niveau des [2] composants » - ETTC 95 – Toulon - 30-31 mai 1 juin 1995 C. Carel, C. Girard – « Maîtrise de l’impact d’environnements électromagnétiques sur des systèmes : approche de la CEM et du durcissement au sein de l’ingénierie système » ; REE n°1 jan 2002. [3] C. Carel – « Nouveau concept CEM [4] appliqué au spatial et à l’avionique » ; Repère REE n°1 janvier 2002 C. Carel – « CEM dans l’embarqué » ; Repère REE 2 ; mars 2002 [5] Sessions « Défaillance des composants électroniques » - Congrès RADECS et ETTC 1997 et C. Carel – « Défaillance des composants électroniques » - congrès CEM 1998 Et revue REE 1999. 14. BIOGRAPHIE Christian CAREL développe des travaux depuis une vingtaine d’année dans le domaine du durcissement. Dans le groupe Aérospatiale et dans le cadre du durcissement des systèmes stratégiques, il a réalisé des logiciels de calculs d’environnements électromagnétiques et nucléaires et des logiciels électromagnétiques de simulation d’effets non linéaires. Puis au sein du groupe THALES, ou il développe des projets d’études amonts sur les défaillances de composants (en coordination avec le cercle 17.50 de la SEE) et la vulnérabilité des systèmes de communications. Il a en charge le durcissement nucléaire et Tempest de systèmes spatiaux, de communications et de Guerre Electronique. 10
BACK SATELLITE EMC QUALIFICATION PROCESS Patrice PELISSOU, patrice.pelissou@astrium-space.com ASTRIUM Toulouse, 31 Av. des Cosmonautes 31405 Toulouse, Cedex 4 ABSTRACT The aim of this document is to present the control methodology applied all along a satellite development in order to guarantee the good behaviour of the satellite for Electromagnetic Compatibility concern (EMC). EMC MANAGEMENT AND ORGANISATION The EMC control activity is realised by an EMC specialised engineer who is integrated to the project team for all the duration of the program. He is responsible for the good performance of the satellite in term of Electromagnetic Compatibility. The typical satellite required performance is : • A self compatibility margin of at least 6 dB between the satellite emissions (RE&CE) and the susceptibility thresholds (20 dB for the pyrotechnic equipment’s) • A RF compatibility with the different launchers & launch pads in term of radiated emission and radiated susceptibility • A RF self compatibility between the payload and the others sub-systems. This implies a control of the following items : • respect of the EMC specification • respect of the electrical design rules • reliability of the design and validation by simulation if possible. The EMC philosophy in the satellite program is defined in the figure here-below : 1
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La qualification du durcissement repose alors sur :<br />
• La mise en place de modèles numériques « briques de base » en phase de définition pour des<br />
simulations permettant d’évaluer et de définir la protection.<br />
• L’étalonnage des modèles par des essais partiels sur équipement ou partie de système intégré<br />
en phase de développement.<br />
• Le contrôle de la solution préconisée et sa mise à jour éventuelle.<br />
Le besoin en données réelles pour l’optimisation nécessite une approche jumelée à partir de<br />
simulations et mesures. Compte tenu des délais de plus en plus serrés du programme, de la<br />
disponibilité des éléments ou équipements pour les essais, il y a de grande chance que l’impact<br />
soit effectif au niveau d’un des premiers exemplaires d’une série.<br />
Avec cette logique, la démonstration est assise sur des données réelles du système. Le gain doit<br />
s’améliorer si la logique de durcissement s’accompagne d’une démarche probabiliste.<br />
12. CONCLUSION<br />
Cet article présente des réflexions et avancées dans le domaine du processus de qualification du<br />
durcissement.<br />
Les étapes clés du processus de qualification sont présentées et discutées.<br />
L’enjeu repose sur la prévision des actions de durcissement tenant compte de la réduction des<br />
coûts et délais de développement de programme.<br />
La réalisation de la protection suit de plus en plus une logique fondée sur une réalité objective que<br />
causale.<br />
Au final, le gain et effectif. Cependant des méthodes et banques de données doivent êtres mise en<br />
places pour garantir l’assise de la démarche.<br />
13. REFERENCES<br />
[1] C. Carel, G. Prévost - « Intérêt et<br />
méthodologie pour une déclinaison des<br />
contraintes jusqu’au niveau des<br />
[2]<br />
composants » - ETTC 95 – Toulon - 30-31<br />
mai 1 juin 1995<br />
C. Carel, C. Girard – « Maîtrise de<br />
l’impact d’environnements<br />
électromagnétiques sur des systèmes :<br />
approche de la CEM et du<br />
durcissement au sein de l’ingénierie<br />
système » ; REE n°1 jan 2002.<br />
[3] C. Carel – « Nouveau concept CEM<br />
[4]<br />
appliqué au spatial et à l’avionique » ;<br />
Repère REE n°1 janvier 2002<br />
C. Carel – « CEM dans l’embarqué » ;<br />
Repère REE 2 ; mars 2002<br />
[5] Sessions « Défaillance des composants<br />
électroniques » - Congrès RADECS et<br />
ETTC 1997 et C. Carel – « Défaillance des<br />
composants électroniques » - congrès CEM<br />
1998 Et revue REE 1999.<br />
14. BIOGRAPHIE<br />
Christian CAREL développe des travaux depuis<br />
une vingtaine d’année dans le domaine du<br />
durcissement. Dans le groupe Aérospatiale et<br />
dans le cadre du durcissement des systèmes<br />
stratégiques, il a réalisé des logiciels de calculs<br />
d’environnements électromagnétiques et<br />
nucléaires et des logiciels électromagnétiques<br />
de simulation d’effets non linéaires. Puis au<br />
sein du groupe THALES, ou il développe des<br />
projets d’études amonts sur les défaillances de<br />
composants (en coordination avec le cercle<br />
17.50 de la <strong>SEE</strong>) et la vulnérabilité des<br />
systèmes de communications. Il a en charge le<br />
durcissement nucléaire et Tempest de<br />
systèmes spatiaux, de communications et de<br />
Guerre Electronique.<br />
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