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472 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 270
Drevet dont je vous ay parlé autresfois, et 2. ou 3. autres entre lesquels est un M r Stuffen
Flamand que Mons r Pinsson m’a proposé, l’entreprendront pour moins des 400 escus que
M r Edelinck en veut avoir. c’est à vous de résoudre avec Mons r le Baron de Goertz de qui
vous jugez à propos qu’on se serve. J’incline come vous, Monsieur, pour led t S r Edelinck.
5 La question est de savoir si le tems et l’argent qu’il demande vous accommodent. Il est
neveu de Nanteüil par sa femme, à qui vous savez que j’ay fait faire le portrait de feu Mg r
le Prince Jean Fréderic dont vous me dites qu’on a esté si content. Il en a eu un sac de
1000 quoyque l’ovale ne fût accompagnée d’aucun ornament. Vous verrez, Monsieur,
dans mes lettres à M r Schlem ce que j’ay écrit de plus sur ce sujet.
10 Je suis persuadé que le Père Bouvet a receu vostre lettre[,] car il mande au R d
P. Verjus à qui j’ay fait vos recommandations qu’il vous fera part de plusieurs curiositez
de la Chine fort particulieres, et dont vous serez satisfait. L’affaire de ces Peres va bien
à Rome. Le R d Pere Le Comte y est où sa présence n’y nuit pas. Le jugement que vous
faites de ses ouvrages n’est pas moins obligeant, qu’il est équitable. J’en ay fait raport
15 au R d P. Verjus aussy bien que du sujet que vous avez de vous plaindre des auteurs du
nouveau journal. Il m’en a demandé un extrait que je luy ay fourni, c’est pour le faire
voir à ces Mess rs affin qu’ils vous ménagent mieux à l’avenir, et qu’ils vous traittent en
bon ami.
1 Drever K, korr. Hrsg.
1 autresfois: vgl. N. 193. 6 neveu: G. Edelincks Gattin Madeleine war eine Tochter von Nicolas
Regnesson, dessen Schwester Jeanne mit R. Nanteuil verheiratet war. 9 mes lettres: Abgesehen von
dem S. 471 Z. 21 Erl. genannten Stück liegen Briefe Brosseaus an Schlemm vom 26. August (LBr. 119
Bl. 1) und 2. September (ebd. Bl. 334) zum Thema in Leibniz’ Brosseaukorrespondenz. 10 lettre: I, 19
N. 15669 (Leibniz – Bouvet 15. Februar 1701). 12 L’affaire: der Streit um die chinesischen Riten, der
beim Papst zur Entscheidung anstand. 13 f. Pere . . . équitable: Die Werke des Jesuitenpaters L. D.
Le Comte waren am 18. Oktober 1700 von der Theologischen Fakultät der Sorbonne verurteilt worden;
er hatte daraufhin sein Amt als Beichtvater der Herzogin von Burgund verloren und war wegen dieser
Angelegenheit nach Rom gereist; vgl. J. David, La condemnation en Sorbonne des ” Nouveaux memoires
sur la Chine du P. L. C.‘‘, in: Recherches de Science Religieuse, 37, 1950, S. 366–397. Als Geschenk von
Verjus hatte Leibniz das Werk 1696 über Brosseau erhalten; vgl. I, 13 N. 173. 15 f. sujet . . . journal:
Offenbar hatte Leibniz an der Besprechung von Jac. Bernoulli, Nova methodus expedite determinandi
Radios Osculi seu Curvaturae in Curvis quibusvis Algebraicis, in: A c t a erud., November 1700, S. 508
bis 511, Anstoß genommen, die in den M é m o i r e s pour l’histoire des sciences et des beaux arts,
Mai/Juni 1701, S. ∗ 223– ∗ 234, erschienen war; vgl. unten S. 473 Z. 26 – S. 474 Z. 2 u. N. 291.
18. 7. 2005