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N. 491 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 857 490. FRIEDRICH AUGUST HACKMANN AN LEIBNIZ Burgdorf, 27. März 1702. [489.] Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 349 Bl. 112. 4 o . 1 S. Burchtorff d. 27 Mertz 1702. Habe mich fleißig erkundiget, um ein logement für Eure Excellentz; und hatt der 5 H. Prediger Gebhardi sich erkläret, daß Er woll einen Kammer auf wenige tage geben könte. Ubrigens berichte, daß gestern Abend ein Trompeter mit brieffen von S. Durch. Hertzog R. A. ankommen, v. wird heute der G. Rh. Fabricius, v. d. H. v. Busch nach Braunschweig gehen. Verharre mit schuldigsten Respect 〈...〉 10 491. JOHANN SIGISMUND VON REUSCHENBERG AN LEIBNIZ Hildesheim, 27. März 1702. Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 774 Bl. 38–39. 1 Bog. 4 o . 2 S. à Hildesheim ce 27 de Mars 1702. Le bruit et la réputation de votre belle et solide litterature Monsieur s’ést répanduë 15 par toute l’Europe tellement que les plús illustres en matiére de belles lettres qu’il y a en Espagne, en France, en Italie, en Allemagne, en Hollande, en Angleterre, m’en ont parlé plús d’une fois avec un éloge tout particulier de sorte que ces illustres étrangers m’ont comblé quelque fois d’une Joye toute chagrinante, s’il m’est permis de parler ainsi, en ce que je n’avois pas l’honneur de connoître ce grand personage qui fait presentement 20 Zu N. 490: 6 Gebhardi: J. G. Gebhard. 9 f. wird heute . . . gehen: Der cellische Vizekanzler W. L. von Fabrice und der Berghauptmann H. A. von dem Bussche trafen am Morgen des 28. März zu Ausgleichsverhandlungen mit Herzog Rudolf August in Braunschweig ein. Vgl. dazu Schnath, Überwältigung Braunschweig-Wolfenbüttels, 1975, S. 72 f. Zu N. 491: K eröffnet die Korrespondenz und wird beantwortet durch einen Leibnizbrief vom 3. April 1702 (Druck in I, 21). 18. 7. 2005

858 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 492 L’ornement presqu’ unique de notre Nation dans la République des lettres; par où vous vous persuaderez aisement Monsieur de l’Empressement avec le quel J’ai accepté la Commission de la part de M r l’Eveque de Meaux de ranimer un peu, si Je le pouvois, l’anciéne corréspondence que ce grand prélat prétend de cultiver et de continuer avec 5 vous avec la derniére exactitude. Mais il se plaint qu’il y a plús de six mois que vous le laissez languir apres votre réponce sur l’éclaircissement touchant les écritures Canoniques, mandez moy, s’il vous plait, ce qui en ést, et commencez à honorer de votre amitié une personne la quelle quoiqu’inconnuë se fait un plaisir et méme une gloire toute particuliére d’avoir quelque rélation avec un aussi grand homme que vous éstes. Je suis 10 Monsieur Votre Treshumb. et Tresobeissant sv teur I. H. Baron de Reuschenberg. Chanoin de la Metropolitaine Electorale de Tréves et de la Cathedrale de Hildesheim. 492. KÖNIGIN SOPHIE CHARLOTTE AN LEIBNIZ 15 [Berlin, Ende März 1702]. [481. 494.] Überlieferung: K Abfertigung: LBr. F 27 Bl. 39–41. 1 Bog. u. 1 Bl. 4 o . 5 S. — Gedr.: 1. Kemble, Correspondence, 1857, S. 313 f.; 2. Klopp, Werke, 10, 1877, S. 136 f. Vous verés par ce billet Monsieur l’impatiance que j’ay de vous voir icy et combien j’estime vostre conversation la recherchant avec tout l’empressement imaginable. J’espere 20 que vous m’aporterés la novelle que tout c[’]e[s]t bien terminé avec Wolfenbutel qui e[s]t une afaire que je regarde juste et glorieuse pour nos Princes. Il semble pourtant que le duc Antoine n’a pas sy grande envie d’estre forcé come on le diroit; ou il joue la comedie à merveille, car il n’a jamais paru davantage dans son naturel que à present. 6 languir . . . Canoniques: Auf Bossuets Brief vom 17. August 1701 (N. 228), seinerseits Antwort auf Leibniz’ réponce‘‘ I, 18 N. 368 u. N. 374, hat Leibniz erst mit N. 441 vom 5. Februar 1702 reagiert. ” Vgl. auch N. 467. Zu N. 492: K folgt N. 481. Leibniz antwortet mit einem Brief vom 12. April 1702 (Druck in I, 21). Einen Anhaltspunkt für die Datierung liefern die Erwähnung des Überfalls auf Wolfenbüttel am 19./20. März 1702 und des Todes des englischen Königs Wilhelm III. (19. März). 18. 7. 2005

858 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 492<br />

L’ornement presqu’ unique de notre Nation dans la République des lettres; par où vous<br />

vous persuaderez aisement Monsieur de l’Empressement avec le quel J’ai accepté la<br />

Commission de la part de M r l’Eveque de Meaux de ranimer un peu, si Je le pouvois,<br />

l’anciéne corréspondence que ce grand prélat prétend de cultiver et de continuer avec<br />

5 vous avec la derniére exactitude. Mais il se plaint qu’il y a plús de six mois que vous le<br />

laissez languir apres votre réponce sur l’éclaircissement touchant les écritures Canoniques,<br />

mandez moy, s’il vous plait, ce qui en ést, et commencez à honorer de votre amitié une<br />

personne la quelle quoiqu’inconnuë se fait un plaisir et méme une gloire toute particuliére<br />

d’avoir quelque rélation avec un aussi grand homme que vous éstes. Je suis<br />

10 Monsieur Votre Treshumb. et Tresobeissant sv teur I. H. Baron de Reuschenberg.<br />

Chanoin de la Metropolitaine<br />

Electorale de Tréves et de la<br />

Cathedrale de Hildesheim.<br />

492. KÖNIGIN SOPHIE CHARLOTTE AN LEIBNIZ<br />

15 [Berlin, Ende März 1702]. [481. 494.]<br />

Überlieferung: K Abfertigung: LBr. F 27 Bl. 39–41. 1 Bog. u. 1 Bl. 4 o . 5 S. — Gedr.: 1. Kemble,<br />

Correspondence, 1857, S. 313 f.; 2. Klopp, Werke, 10, 1877, S. 136 f.<br />

Vous verés par ce billet Monsieur l’impatiance que j’ay de vous voir icy et combien<br />

j’estime vostre conversation la recherchant avec tout l’empressement imaginable. J’espere<br />

20 que vous m’aporterés la novelle que tout c[’]e[s]t bien terminé avec Wolfenbutel qui e[s]t<br />

une afaire que je regarde juste et glorieuse pour nos Princes. Il semble pourtant que le<br />

duc Antoine n’a pas sy grande envie d’estre forcé come on le diroit; ou il joue la comedie<br />

à merveille, car il n’a jamais paru davantage dans son naturel que à present.<br />

6 languir . . . Canoniques: Auf Bossuets Brief vom 17. August 1701 (N. 228), seinerseits Antwort<br />

auf Leibniz’ réponce‘‘ I, 18 N. 368 u. N. 374, hat Leibniz erst mit N. 441 vom 5. Februar 1702 reagiert.<br />

”<br />

Vgl. auch N. 467.<br />

Zu N. 492: K folgt N. 481. Leibniz antwortet mit einem Brief vom 12. April 1702 (Druck in I, 21).<br />

Einen Anhaltspunkt für die Datierung liefern die Erwähnung des Überfalls auf Wolfenbüttel am 19./20.<br />

März 1702 und des Todes des englischen Königs Wilhelm III. (19. März).<br />

18. 7. 2005

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