258 - Up

N. 268 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 469
mieux continuer. Ainsi ce conseil seroit merveilleusement à leur avantage. On y associeroit
pourtant le Landgrave de Hesse Cassel, et par ce moyen on s’asseureroit aussi les Princes
Ecclesiastiques surtout de Cologne et de Munster, qui sans cela sont à craindre.
En donnant réponse sur les six questions precédentes, on le pourroit faire d’une maniere
que d’autres n’y entendroi[en]t rien, quand la lettre viendroit à estre interceptée ou 5
ouverte, comme il n’arrive que trop. Par exemple on parleroit ainsi: à l a p r e m i e r e
q u e s t i o n r e s p. o u y , ou non, ou quelque autre chose, qui ne pourroit estre deviné
par personne, sans voir la question; et par ce moyen, on sauroit au moins s’il y a
apparence de faire quelque chose, ou s’il la faut laisser aller son train ordinaire etc.
〈L 1 〉 10
Il seroit à souhaiter Milord, que [vous] puissiés encor rester à Loh quelques semaines,
mais si vous estes obligé de partir, je ne voy que Mons. Blathwayt avec qui on pourroit
continuer cette negotiation, s’il y avoit de l’apparence. En tout cas vous me donnerés
bientost des lumieres là dessus.
268. JOACHIM MEIER AN LEIBNIZ 15
Göttingen, 12. September 1701. [269.]
Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 629 Bl. 107–108. 1 Bog. 4 o . 1 3/4 S. Eigh. Aufschrift.
Siegel. — Auf Bl. 108 r o K von N. 269.
Vir Per-Illustris Domine, Patrone et Compater omni venerationis cultu
prosequende. 20
Tandem concatenatorum laborum solatium, et in pejus degenerantis valetudinis levamen
inveni, resignationem officii mei in favorem tertii. Addidi certas huic resignationi
conditiones, quarum summam hic inclusi vernaculo sermone, ut Tibi Vir Per-Illustris,
Zu N. 268: K führt die Korrespondenz nach I, 19 N. 15977 (J. Meier – Leibniz 26. Mai 1701) fort
und hatte als Beilage N. 269. K wird beantwortet durch einen nicht gefundenen Leibnizbrief wohl von
Mitte Oktober 1701 (vgl. N. 309 S. 534 Z. 4 f.). 23 inclusi: vgl. N. 269.
18. 7. 2005