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684 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 385
par medailles la seconde editione paroitra le primier jour del annè et sera pareille en
magnificence del impressione aux autres monuments della memoire de ce Monarque. Je
finis en me subscrivant toujours Monsieur 〈...〉
Je Vous prie encore de me recrire au plûtot, je ne puis pas trouvér plûs à Paris non
5 plus qu’à Londre Votres letres à Mons r Pellison sur la controverse: Mons r Lock les avoit
empruntés come aussi Vôtre poeme latin sur les bombes que je ne pouvoit pas jamais
retirér de ses mains. Il ne se soucis pas d’avoir disputé plus avec persone al egard de ce
qu’il a ecrit: Mais j’ay oui dire aussi, qu’il ne pretendoit pas assez comprendre ce que
Vous l’aviez ecrit pour Vous repondre; ce que je Vous ecrit en amis: mais je ne veux pas
10 que Vous me nomiez pour cette notice, n’ayant jamais aucunes ordres de Vous ecrire
autres choses q u e s e s R e m e r c i m e n s , et son estime pour Vous. Je ne sais pas
si la Princesse la seure de Vôtre Serenissime Electrice qui fût l’Abesse de Mobisson ê
encore en vie, ou si elle se puisse voir. J’y ferois voyage exprès si je pouvois recevoir cette
honeur là. On dit qu’il y a aussi baucoup des dames Englois. A Dieu.
15 à Monsieur Monsieur Leibnitz Conseilliér intime de S. A. E. L’Electeur de Brunswick
Hanover
385. JOSEPH AUGUSTE DU CROS AN LEIBNIZ
Schöningen, 17. Dezember 1701. [342. 391.]
Überlieferung: K Abfertigung: LBr. 219 Bl. 34–35 u. Bl. 205. 1 Bog. 4 o . 4 S. u. 1 Bl. 8,5 x
20 16,5 cm 1 S. Bl. 35 enthält das ursprünglich quer zum Text oben auf Bl. 35 v o stehende PS.
und wurde nachträglich aus dem Bogen heraus geschnitten. Bibl.verm.
Monsieur à Schöningen le 17 de Dec. 701
Il y a desja quelque temps qu’on m’avoit assuré que vous deviés vous engager à la
5 letres: P. Pellisson-Fontanier, Reflexions sur la difference de la religion, 1691, P. 4. 6 poeme
. . . bombes: Leibniz, In Bombos, 1689 (gedr.: I, 5 N. 208, S. 365). 9 Vous . . . ecrit: Leibniz, Reflexions
sur la seconde replique de Locke (gedr.: VI, 6 N. I 4 ); vgl. dazu I, 18 N. 211 die Vorbemerkung.
Zu N. 385: K wird zusammen mit N. 342 beantwortet durch N. 391. Wie aus dem PS. und N. 391 zu
ersehen ist, wurde der Brief Leibniz in Berlin von einem Mann namens Keller übergeben.
18. 7. 2005