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578 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 326
ny n’auroient jamais donné la main. On voit même la Copie d’une lettre tres-forte de
S. A. S me Monseigneur le Duc Frederich Guillaume, contre 11. Gentilshommes du Pays,
qui y sont nommez, qu’il a dit decheux de touts benefices, dont ils auroient pû jouir en
vertu de l’Amnistie, etc. parce qu’ils s’etoient montrez refractaires.
5 On parle fort, d’un grand voyage, que le dit Monseigneur le Duc ira faire et que
pendant son Absence, Monseigneur le Prince Charles son Frere, sera Stadthalter. Tout
le monde en raisonne; mais je suis quasi persuadé, que personne n’en parlera juste, ny
ne l’osera, avant que le Duc sera arrivé au lieu, où il bute. Je me souviens, que vous
m’écrivite l’autre jour, que nos Theologiens d’icy, pouvoient apprehender avec raison, du
10 voyage de M r le Comte Horn.
Conservez moy, je vous prie l’honneur de vostre chere Amitié et soyez persuadé, que
je suis 〈...〉
P. S. Mons r le Baron de Grote passa avant hier par icy, revenant de Suede. Vous le
verrez sans doute bien tost à Hannovre. Il seroit passé par icy, ce genereux Amy, sans que
15 je l’eusse sçu, si par avanture je n’eusse courru ce jour-là le lieuvre; quoy que le temps
fût fort humide. Retournant à la ville, je rencontray son Carosse à 200. pas de la porte;
et mon valet, qui suivoit à cheval, avoit eu la curiosité, de s’informer du Passant.
A Monsieur Monsieur de Leibnitz Conseiller Privè de Justice de Sa Ser té El e de
Brounschwig à Hannovre.
20 326. LEIBNIZ AN JOHANN VON BESSER
Berlin, 10. November 1701. [161.]
Überlieferung: L Konzept: LBr. 61 Bl. 1. 1/3 Bl. 2 o (beschnitten). 1 S. Eigh. Anschrift. —
Gedr.: Feder, Comm. epistol., 1805, S. 241–242.
A Monsieur de Besser grand Maistre des ceremonies du roy de Prusse.
1 lettre: nicht ermittelt. 6 Charles: Herzog Karl Leopold von Mecklenburg-Schwerin.
10 voyage: vgl. N. 237. 13 Grote: der hannoversche Gesandte Th. Grote.
Zu N. 326: Mit der nicht gefundenen Abfertigung antwortet Leibniz auf eine Büchersendung (vgl.
S. 579 Z. 2). Der nächste Brief der Korrespondenz (Besser an Leibniz) datiert vom 30. September 1702
(Druck in I, 21).
18. 7. 2005