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438 ii. allgemeiner und gelehrter briefwechsel 1701–1702 N. 259<br />

259. LEIBNIZ AN JACQUES-BÉNIGNE BOSSUET<br />

[Hannover, Ende August–Anfang September 1701]. [228. 441.]<br />

Überlieferung:<br />

L Konzept: LH I 19 Bl. 405. 407–410. 406. 3 Bog. 4o . 10 S. Mit zahlreichen Streichungen<br />

5 und Ergänzungen, auf Bl. 407 ro teilweise rückübertragen aus l.<br />

l Verbesserte Reinschrift: Ebd. Bl. 411–414. 2 Bog. 4o . Goldschnitt. 8 S. von Schreiberhand<br />

mit zahlreichen Änderungen und Ergänzungen von Leibniz’ Hand. (Unsere Druckvorlage.)<br />

— Gedr.: 1. Foucher de Careil, Œuvres, 2, 1860, S. 393–396; 2. Aufl., 1869, S. 397–400;<br />

2. Bossuet, Correspondance, 13, 1920, S. 190–200.<br />

10 Monseigneur<br />

J’ay receu l’honneur de vostre Lettre du 12 d’Aoust, et n’ay point manqué de la<br />

monstrer et d’en faire rapport à Monsg r le Duc Antoine Ulric, et à Monsg r le prince<br />

heritier, qui sont tousjours fort edifiés par vostre zele, et marquent de vous avoir de<br />

l’obligation de vostre souvenir favorable.<br />

15 Pour ce qui est du contenu de vostre lettre, je voy bien qu’il y a eu du mesentendu,<br />

lors qu’on a crû que vous aviés desiré quelque communication avec un Theologien du<br />

pays, autre que M. l’abbé de Loccum, au lieu que vous me marqués, Monseigneur, de ne<br />

l’avoir desirée avec aucun, et d’avoir tousjours esté prest de donner des eclaircissemens<br />

et d’en recevoir, sur tout de ce savant Abbé. A quoy je diray seulement, que la premiere<br />

20 occasion de nostre commerce sur ce sujet a esté le desir que vous aviés temoigné d’estre<br />

informé sur ce que vous aviés appris des sentimens moderés qu’on agitoit icy, à quoy l’on<br />

satisfit à condition, entre autres que Vous nous en diriés le vostre. Mais nous trouvâmes,<br />

particulierement M. de Loccum et moy, que vostre reponse, Monseigneur[,] sur un point<br />

qui paroissoit des plus essentiels, c’est à dire sur le concile de Trente, que nous croyons<br />

25 ne pouvoir jamais admettre, prenait nostre sens tout autrement que nous ne voulions, et<br />

comme si nous pretendions, que vous deviés entierement renoncer à l’autorité de ce concile<br />

avant qu’on pût entrer en aucune négotiation avec vous; au lieu qu’il s’agissoit seulement<br />

que vous reconnussiés vous mêmes avant toutes choses, que vostre Eglise n’est pas obligée<br />

Zu N. 259: Unser Stück war gedacht als Antwort auf N. 223, wurde aber wohl nicht abgefertigt.<br />

Unsere Datierung ergibt sich aus der Erwähnung von N. 228, vgl. S. 444 Z. 24–26; Leibniz dürfte dieses<br />

Stück nach seiner Rückkehr aus Braunschweig und Wolfenbüttel am 30. August vorgefunden haben.<br />

18. 7. 2005

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