Press release 29 December 2005 - Munich Re

Münchener Rückversicherungs-Gesellschaft
Aktiengesellschaft in München
pour la
presse
Le bilan 2005 des catastrophes naturelles est marqué par deux grands événements naturels :
• le terrible tremblement de terre au Cachemire : plus de 80 000 morts, d’innombrables
blessés et personnes sans-abri.
• les ouragans qui ont fait de 2005 l'année la plus onéreuse de l'histoire de l'assurance.
Malgré des avis de sinistres tardifs élevés pour Katrina, la Münchener Rück peut maintenir son
objectif de résultat pour 2005 et veut verser un dividende de 3,10 €, c'est-à-dire majoré de 55 %
18 avril 2006 : centenaire du tremblement de terre de San Francisco
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München, den 29. Dezember 2005
L’année 2005 a commencé sous l’empreinte du tsunami qui, le 26 décembre 2004, a dévasté le littoral
autour de l’océan Indien sur des milliers de kilomètres ainsi que les habitations qui s’y trouvaient.
En ce qui concerne les catastrophes naturelles, l’année 2005 a été caractérisée par un nombre élevé
de victimes, plus de 100 000 – en particulier en raison du tremblement de terre dramatique du 8
octobre au Cachemire – et par des sinistres records pour l’assurance, s’élevant à plus de 75 milliards
de $US. Selon les estimations de la Münchener Rück, l’ouragan Katrina a causé, à lui seul, des
dommages couverts par l'assurance d'environ 45 milliards de $US, ce qui a souligné de façon brutale le
danger accru émanant des tempêtes. Pourtant, les catastrophes naturelles resteront assurables à
l’avenir, à condition que les prix et les conditions suivent le rythme des risques assurés qui ne cessent
d'augmenter.
La saison des ouragans 2005, marquée par une activité et une violence inaccoutumées, avec entre
autres Dennis, Emily, Katrina et Rita (tous survenus au 3 e trimestre), suivis ensuite de Wilma, a touché
la Münchener Rück plus rudement que ce que l’on avait escompté jusqu’alors. Depuis les dernières
estimations du 7 novembre, de nouveaux avis de sinistres et rapports d’experts sont arrivés sans
discontinuer. Après imposition, les tempêtes font baisser le résultat consolidé de presque 1,5

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milliard d’€. Corrigé de la charge nette pour Wilma, qui a touché le 4 e trimestre, ceci représente environ
500 millions d’€ de plus que ce qui avait été annoncé dans le communiqué pour les trois premiers
trimestres. Le Groupe compte donc, avant imposition et après les rétrocessions, sur une charge de 1,6
milliard d’€ pour Katrina, (= 815 millions d’€ de plus que ce qui avait été estimé auparavant) ; pour Rita,
le montant attendu reste inchangé, avec plus de 250 millions d’€ et pour Wilma, on s’attend à un impact
d’environ 330 millions d’€. Ceci correspond à une charge avant imposition de 2,3 milliards d’€ après les
rétrocessions, ce montant comprenant toutefois une provision de plus de 600 millions d’€ pour les
sinistres non encore déclarés (ce que l'on appelle les IBNR qui ont été provisionnées par la Münchener
Rück en raison des incertitudes encore existantes).
Malgré les sinistres records engendrés par la série de catastrophes naturelles, le Groupe Münchener
Rück est en mesure de maintenir son objectif de résultat annuel pour 2005. Le Directoire a l’intention
de proposer au Conseil de Surveillance et à l’Assemblée Générale un dividende de 3,10 € par action,
c’est-à-dire majoré de 1,10 € par rapport à l'an dernier. Nikolaus von Bomhard, Président du Directoire
de la Münchener Rück, déclare à ce sujet : « Nous voulons, par cette vigoureuse augmentation du
dividende, que nos actionnaires profitent du bon résultat. Les affaires de base de la réassurance et de
l’assurance directe ont évolué de façon satisfaisante, nos assureurs directs ont continué leur évolution
positive et la poursuite de la réduction des risques de concentration dans le domaine des placements
financiers a engendré non seulement l’amélioration souhaitée de la composition du portefeuille, mais
également des plus-values de cession ». L'échange d'actions HVB en titres UniCredit a apporté un
bénéfice net d’environ 1,15 milliard d'€.
La charge des sinistres nettement plus élevée incombant à la Münchener Rück et à la plupart des
autres intervenants du marché, en raison des avis tardifs de sinistres découlant de Katrina, se reflète
bien entendu également dans le sinistre global touchant tout le marché de l’assurance. La Münchener
Rück l’avait tout d’abord estimé à un montant allant jusqu’à 30 milliards de $US, on s’attend entretemps
à environ 45 milliards de $US. Ceci s’explique principalement par le fait que l’ampleur des lourds
dommages causés par les inondations sur une large bande côtière et couverts par l’assurance des
risques commerciaux et industriels n’a été reconnaissable que progressivement ; ces dommages sont
en grande partie également réassurés. À ceci vient s’ajouter, outre la situation complexe en matière de
sinistralité, le fait qu’il n’est possible que depuis début décembre d’accéder sans entrave à tous les
quartiers de la Nouvelle-Orléans et que les dommages aux bâtiments et les sinistres PE que l’on y
déplore ne peuvent donc être expertisés qu'avec beaucoup de retard. De surcroît, les sinistres dus aux
tempêtes qui ont suivi, Rita et Wilma, sont venus gonfler encore rétroactivement la charge
d'indemnisation de l'ouragan précédent, Katrina, car ils ont entraîné une nouvelle hausse de la
demande et des coûts de matériel et de main-d’œuvre dans le bâtiment et les professions artisanales,
faisant ainsi augmenter encore plus le prix des dommages générés par Katrina.
Münchener Rück
Munich Re Group

Bilan des catastrophes naturelles 2005 :
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Le terrible tremblement de terre du Cachemire et les répercussions de l’ouragan Katrina ont à nouveau
souligné la menace que représentent les risques naturels à l’échelle mondiale.
Comme l’a déclaré Torsten Jeworrek, membre du Directoire de la Münchener Rück : « Plus que jamais,
nous adaptons nos affaires au nouveau contexte de risque et à l’énorme potentialité de dommages.
Ceci peut également représenter de nouvelles opportunités d’affaires. Nos produits et notre service
sont absolument indispensables. Nous exploiterons ces opportunités d’affaires, tout en n’acceptant que
des prix et des conditions conformes à la réalité des risques ».
Vue d’ensemble de l’analyse 2005 :
Les préjudices économiques ont atteint un niveau record de plus de 200 milliards de $US (dont
125 milliards de $US pour le seul ouragan Katrina) ce qui signifie qu’ils sont nettement plus élevés que
ceux de l’an dernier (2004 : plus de 145 milliards de $US).
Les sinistres assurés ont pris une dimension tout à fait nouvelle, atteignant plus de 75 milliards de $US,
c’est-à-dire presque deux fois la charge record enregistrée en 2004. Plus de 60 milliards de $US sont à
mettre sur le compte des cyclones atlantiques. Comme en 2004, où ces événements sont survenus
également dans le Pacifique, ce sont aussi essentiellement des tempêtes qui ont touché des
concentrations de valeurs élevées avec une forte densité d'assurance.
Environ 650 événements dommageables ont été enregistrés au cours de cette année, un nombre de
catastrophes naturelles se rapprochant donc de celui de l’an passé et correspondant à la moyenne des
10 dernières années.
Les catastrophes naturelles 2005 ont causé la mort de plus de 100 000 personnes. Au cours des 25
dernières années, un tel nombre de victimes n’avait été égalé qu’en 1991 (env. 160 000 morts
principalement en raison du raz de marée au Bangladesh) et en 2004 (plus de 200 000 morts,
essentiellement à cause de la catastrophe du tsunami). Le tremblement de terre du 8 octobre 2005 au
Cachemire, causant la mort de largement plus de 80 000 personnes, un nombre indéfini de blessés et
des milliers de sans-abri, fait partie des catastrophes sismiques les plus dramatiques des 100 dernières
années (voir annexes) et a été la plus grande catastrophe naturelle de l’histoire du Pakistan. Dans les
régions montagneuses froides, être sans abri engendre des problèmes existentiels fondamentaux.
L’aide internationale est en cours.
Münchener Rück
Munich Re Group

Des tempêtes catastrophiques d’une dimension nouvelle
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Les ouragans survenus dans l’Atlantique en 2005 ont battu de nouveaux records tant du point de vue
météorologique qu’économique. Depuis le début des enregistrements (1851), la saison des ouragans
2005 a été celle où le plus grand nombre de tempêtes tropicales et d'ouragans a été enregistré en
Atlantique (on en a compté 26). Le dommage qui en résulte ne dépend pourtant pas seulement de la
fréquence et de l’intensité des tempêtes, mais également des concentrations de valeurs touchées.
Les tempêtes les plus destructrices et les plus spectaculaires du point de vue météorologique ont été
les suivantes :
Katrina a été, du point de vue de la pression atmosphérique, le sixième plus puissant ouragan
depuis le début des relevés météorologiques. Il a causé des dommages records d’environ
125 milliards de $US, dont approximativement 45 milliards sont assurés.
Rita, le quatrième plus violent ouragan depuis le début des enregistrements, a causé aux États-
Unis et dans le golfe du Mexique un préjudice total d’environ 15 milliards de $US, dont plus de la
moitié est couverte par l'assurance.
L’ouragan Vince s’est développé dans la partie est de l’Atlantique Nord, une région qui avait
jusqu’alors été épargnée par les ouragans. Il est passé à côté de Madère, ayant déjà atteint le
maximum de son cycle d’évolution, et a touché le continent européen dans le sud de l’Espagne, ne
causant toutefois que des dommages peu importants.
Wilma est l’ouragan le plus violent depuis le début des relevés. Il a tout d’abord frappé le Mexique
puis la Floride, où en touchant les côtes une seconde fois, il a détruit des valeurs assurées
d’environ 10 milliards de $US, le préjudice total s'est élevé à environ 16 milliards de $US.
Pour finir, ce sont les îles Canaries qui, fin novembre, ont été touchées, pour la première fois
depuis le début des relevés météorologiques des tempêtes tropicales, par un ouragan appelé
Delta.
Des chutes de pluie extrêmement fortes en août ont provoqué de très graves inondations dans la partie
nord des Alpes en Allemagne, en Autriche et surtout dans le centre de la Suisse. Pour la Suisse, il
s’agit là du plus gros sinistre naturel assuré jamais enregistré. Les inondations ont causé des
dommages économiques d’environ 3 milliards de $US au total, dont approximativement 1,7 milliard
sont assurés.
En janvier, la tempête d’hiver Erwin avait déjà balayé le nord de l'Europe, causant un préjudice
économique de 5,8 milliards de $US, dont 2,5 milliards assurés.
Münchener Rück
Munich Re Group

L’assurance réagit à Katrina
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Les sinistres découlant des ouragans des années 2004 et 2005 ont conduit à une nouvelle évaluation
de ce type de risque. L'analyse scientifique se concentre tout d'abord sur les fluctuations naturelles de
la température de l'eau en Atlantique Nord et leurs effets sur la fréquence et l’intensité des tempêtes
tropicales ainsi que sur les répercussions du réchauffement climatique global. L'industrie de l'assurance
se trouve face à un défi qui consiste à adapter ses modèles d’évaluation du risque d’ouragan à une
situation nouvelle impliquant des périls accrus.
Déjà avant Katrina, la Münchener Rück, se basant sur des études scientifiques, prévoyait un contexte
de risque aggravé dans l'Atlantique Nord. Les dommages exceptionnels causés par l'onde de tempête
ressemblant à un tsunami qui a frappé les côtes de la Louisiane et du Mississippi ainsi que la flambée
des coûts de matériel de construction, des frais de main-d’œuvre des artisans et des honoraires des
inspecteurs sinistres (qui ne peuvent être évalués pleinement qu’à la fin de la saison des ouragans) ont
fait clairement ressortir que le modèle de risques de la Münchener Rück doit, lui aussi, être à nouveau
mis à jour.
San Francisco, 1906 : un tremblement de terre bouleverse le monde entier
Pour beaucoup, un tremblement de terre représente la plus destructrice des forces de la nature. Le
tsunami du 26 décembre 2004 a été, lui aussi, déclenché par un séisme.
Le tremblement de terre de San Francisco en 1906 est le symbole de l’événement touchant l’assurance
à l’échelle mondiale. Le 18 avril prochain, le centenaire de cet événement sera commémoré.
En ce jour d’avril, la faille de San Andreas s'est ouverte sur plus de 430 km, c'est-à-dire presque la
moitié de la longueur de la Californie. Les secousses d’une intensité de 7,8 (échelle de Richter) ont
frappé la ville de San Francisco avec une violence inouïe. Un grand nombre des bâtiments, qui étaient
déjà à l'époque des constructions massive en briques, ainsi que les maisons de bois qui présentaient
une certaine flexibilité ont résisté au séisme. Ce dernier a toutefois provoqué l’explosion de
nombreuses conduites de gaz, causant des incendies qui, attisés par un vent de terre puissant et sec,
se sont propagés à la plus grande partie de la ville qui est devenue la proie des flammes. Cette
catastrophe a causé plus de 3 000 morts, des préjudices économiques d'environ 520 millions de $US et
des sinistres assurés de 180 millions de $US (valeurs de l’époque). Elle a représenté une rude épreuve
pour l’assurance au niveau international.
La part du sinistre revenant à la Münchener Rück était de 11 millions de marks or (c.-à-d. environ 2,6
millions de $US de l’époque). Par rapport au volume des affaires, cet événement représente à ce jour
la charge d’indemnisation la plus élevée ayant jamais découlé d’une catastrophe naturelle, il a coûté
alors presque 15 % du volume de primes de la société. La rapidité avec laquelle les indemnités ont été
versées et le règlement non bureaucratique des réclamations de réassurance ont impressionné les
Münchener Rück
Munich Re Group

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clients de la Münchener Rück qui ont fait circuler la devise : « Thieme is money », un jeu de mot avec le
nom du fondateur et chef de l’entreprise à cette époque.
De nombreux séismes dévastateurs ont eu lieu depuis lors, comme dernièrement à Kobe au Japon
(1995), au Gujerat en Inde (2001), à Bam en Iran (2003), à Sumatra en Indonésie (2004) et dans la
région du Cachemire/Pakistan, en Inde (2005). Le tremblement de terre le plus violent survenu en
Californie depuis 1906 s’est produit à Northridge/Los Angeles en 1994. Les secousses d'une intensité
de 6,7 ont causé un préjudice économique de 44 milliards de $US et des dommages assurés d'environ
15 milliards de $US (valeurs de l’époque).
Un séisme comme celui de 1906, qui, statistiquement parlant, se produit tous les 250 à 300 ans,
causerait aujourd’hui à San Francisco, malgré toutes les mesures prises et dans le pire des scénarios,
plus de 10 000 morts et un préjudice économique de l’ordre de 200 milliards de $US. Les dommages
matériels assurés s’élèveraient, à eux seuls, à au moins 40 milliards de $US.
Les grandes agglomérations telles San Francisco, Mexico, New York ou Tokyo sont des structures
extrêmement complexes. Elles engendrent des risques d’un nouveau type et de dimensions inconnues
– des mégarisques. Les villes de Tokyo et de Miami, par exemple, sont situées dans des zones à haut
risque en ce qui concerne les séismes ou les ouragans. Peu après la catastrophe du tsunami, la
Münchener Rück a souligné, lors d'une rencontre avec la presse le 11 janvier 2005, que les grandes
agglomérations de ce type représentaient des défis énormes en particulier pour le monde politique et
l'industrie des assurances. L’assurabilité des risques exige une plus grande transparence des
potentiels de sinistres et des engagements, car il est impossible d’exclure les sinistres majeurs, même
en optimisant la prévention.
Dans les mégapoles, la prévention et le contrôle des risques doivent être développés de façon
systématique. Les sinistres potentiels pouvant découler des risques naturels, des risques techniques,
du terrorisme ou des épidémies doivent être identifiés à l’avance et modélisés. C'est en effet le seul
moyen de rendre assurables les risques des grandes agglomérations et de les garder assurables.
Münchener Rück
Munich Re Group

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Avertissement
La présente note à la presse contient des informations de nature prospective basées sur les hypothèses et les
prévisions émises par la direction de la Münchener Rück. Sous l’influence de risques connus et inconnus,
d’incertitudes et d’autres facteurs, l’évolution réelle, en particulier les résultats, la situation financière et les affaires
de notre société, sont susceptibles de différer sensiblement des informations fournies ici. En conséquence, la
société n’assume aucune responsabilité pour l’actualisation de ces informations de nature prospective ou pour leur
adaptation aux événements ou développements futurs.
Note à l’attention des rédactions :
Pour tous renseignements complémentaires, veuillez vous adresser à Florian Wöst + 49 (0) 89/38 91-94 01), Pr.
Peter Höppe Tél. + 49 (0) 89/38 91-26 78).
La Münchener Rück présente une large gamme de données géoscientifiques qu’il est possible de consulter à
l’adresse www.munichre.com. Ce site contient des informations de fond sur le changement climatique et sur
l'assurance des risques naturels tout comme des analyses de cas de sinistres ou des cartes interactives des
risques de toutes les régions du monde. Vous trouverez la documentation sur l'entretien avec la presse
« Megacities – megarisks » sur la page d’accueil de la Münchener Rück en cliquant sur le lien « Press » « Press
releases » « 11 janvier 2005 ».
Annonce :
La conférence téléphonique avec les médias à l’occasion du renouvellement des traités de réassurance dans le
domaine non-Vie aura lieu le 15 février 2006, dans la matinée. Nous donnerons plus de détails ultérieurement.
Munich, le 29 décembre 2005
Münchener Rückversicherungs-Gesellschaft
(signé) Jeworrek (signé) Küppers
Annexes
Münchener Rück
Munich Re Group

MRNatCatSERVICE ®
Les 5 plus grandes catastrophes naturelles 2005
Classées suivant le nombre de morts
Date Pays/Région Événement Morts
Octobre Pakistan. Inde Séisme 87.000
Février Afghanistan, Inde, Pakistan Tempêtes de neige >1.400
Août États-Unis Ouragan Katrina 1.300
Août Inde Inondations 1.150
Mars Indonésie Séisme >1.000
Classées suivant le préjudice économique
Date Pays/Région Événement Morts Préjudice Dommages
économique assurés
Millions de $US Millions de $US
Août États-Unis Ouragan Katrina 1.300 125.000 45.000
Octobre États-Unis, Mexique, Antilles Ouragan Wilma 42 16.000 10.000
Septembre États-Unis Ouragan Rita 10 15.000 10.000
Janvier Europe de l'Ouest, du Nord, de l'Est Tempête d'hiver Erwin/Gudrun 18 5.800 2.500
Juillet-Août Inde Inondations 1.150 5.000 700
Classées suivant les dommages assurés
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Date Pays/Région Événement Morts Préjudice Dommages
économique assurés
Millions de $US Millions de $US
Août États-Unis Ouragan Katrina 1.300 125.000 45.000
Octobre États-Unis, Mexique, Antilles Ouragan Wilma 42 16.000 10.000
Septembre États-Unis Ouragan Rita 10 15.000 10.000
Janvier Europe de l'Ouest, du Nord, de l'Est Tempête d'hiver Erwin/Gudrun 18 5.800 2.500
Août Europe, Alpes Inondations 11 3.000 1.700
Situation : 29.12.2005 © 2005 NatCatSERVICE® , Münchener Rück
Münchener Rück
Munich Re Group

MRNatCatSERVICE®
Séismes importants 1900 - 2005
Les 15 séismes les plus meurtriers 1900 - 2005
Date Magnitude Région Morts Préjudice Dommages
économique assurés*
(millions de $US)
27/28.7.1976 7,8 Chine, Tangshan 242.800 5.600
16.12.1920 8,5 Chine, Gansu 235.000 25
26.12.2004 9,0 Asie du Sud >200.000 10.000 200.000 10.000