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la harpe. cours de littérature - Notes du mont Royal

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CâmrtpMk. M y est, et il n'y est pas.' Estopéd-f®»?<br />

Dit Gomment? CéML-C'est que t§m mp^i .«mit îm<br />

champ*; il cherene <strong>de</strong>s fênf, et <strong>la</strong>i est niché«n ijarit <strong>de</strong>là<br />

mai»»,ou il Mt une tragédie. Die. Jene* atenirai poârtant<br />

pas. ïi tant que je lnf parle:. Je m'en fais l'appeler.<br />

Euripi<strong>de</strong>, Euripi<strong>de</strong>, éeootennoly sijiamais tous ayez écouté<br />

q eehpi'Mi ; % e^mos^0il^l^^^ 9 • A«CI * * ^<br />

?n se rappelle "qiÂcbjtea?ait<br />

été sdr (e point Ressuyer use condamnatipâ '<br />

capitale posrafoirét^accusédlFréligioi^^Aaaxagore^eourat<br />

le môme dan^ef, et que %xâte y stwcômba,<br />

©à çdnvï§ûdra#que Fictusatioa était aussi<br />

atroce jûè calomnieuse, et qt#Aristopliaae faisait<br />

un vftjnétte^. • ' ^.<br />

Une autçé-preufe d'impu<strong>de</strong>nce, eî&st ipi'O intro<strong>du</strong>it<br />

us hôirin)e habillé eniemmef qui preui lâ#d§- .<br />

fesse* d'Euripi<strong>de</strong>, et soutiesrqtfil n f a pas dit <strong>la</strong>-<br />

. centième partie <strong>du</strong> mal qn f i! pouVait dire; que les* •'<br />

femmes sont trop heureuses qu'il n'ait p§ réitfé *•'<br />

tous leurs secrets. * " . M,-<br />

{Astre allusion au style d'Euripi<strong>de</strong>. ) ' *<br />

«J'aibesoin M <strong>du</strong> batan que portent les mendiants'.<br />

&MP - Pren«4ê doue et aHez-ioss-eo. Die. Khf bons<br />

«M! que dites-fous? J'ai encore besoin <strong>de</strong> bien '<strong>de</strong>s<br />

doses. 11 <strong>du</strong>t absolument que je les obtienne <strong>de</strong> ¥ousf<br />

et ¥©m ne me reftweres pas. Donnes-moi une corbeUlê<br />

vMeà<strong>la</strong>lumée d'une <strong>la</strong>mpe. EOEIP. Qu'en fouta-vous<br />

toe?Dîe. Mao, mais je foudrais l'aToir. EUWP. AMez-<br />

*BM; TOUS m'importunes. Die. Que les dieux aient au-<br />

Hat désuni <strong>de</strong> fous qu'ils en ont en autrefois <strong>de</strong> Tôtre<br />

•ire. EOMP. AUet-foos-es. Die. Donnez-mot <strong>du</strong> moins<br />

me petite tasse cassée par les bords. ïuan». La voilà y<br />

•wo prtes. Cfest être trop importun. Die. Ab I mon cher<br />

Enrifi<strong>de</strong>! TOUS no sa?ex pas quel tort tous me faites. De<br />

grarâ,donB»iMi encore un pot do terre bouché avee une<br />

éponge. Etais», cet homme-là me fera perdre toute une<br />

« Noysooviîes seule»; personne p nop%entend. POOK • •<br />

quoi mirq tuâ <strong>de</strong> brait <strong>de</strong> piques Oaits §u % fl à <strong>la</strong>nces çên*?' '<br />

tre nous, tandis qu'a s'est, tif sojr unè4nflnilé <strong>de</strong> mais que<br />

nous faisons ?»\ .. ..** * ••". * * .'*•<br />

Suit un portrait épouvantable qu'il est iaipossiâ'^'.' '<br />

dç tra<strong>du</strong>ire. On »peutjuf^| par m seuJ eodbôjc s ',<br />

« A-Ml réfélé îtolre adresse à supposer <strong>de</strong>s enfants f On *<br />

lui reproche d'itolr peint <strong>de</strong>s.PJièdres, et pas une. Péné- " *<br />

lope. C'est qu^a n'y ï pas une'seuSe Wpétôjiêpârmi 4 iiiîis7'<br />

Mqiien0aj8ovin«loiilestoPMdm.ii *w.r '.<br />

Conçoit-on que <strong>de</strong> pareilles horreur? Meut été pr> •<br />

ornées tor lethaire d'Athènes? Au rœte, il fmt; '<br />

tragédie. Tenex, et Mssewnoi en repos. Die. Je m'es a croire au swiifs que les'Grecs ne'les appï%svèien.r " '<br />

fais, mais pourtant j'ai encore besoin d'une ehose essentieDe;<br />

et si elfe me manque, je suis un nomme, mort. Mettes-BMi<br />

quelques légumes dans cette corMEVÈumit. En<br />

rett; mais TOUS m'assassinei. Ma ttagédte est per<strong>du</strong>e,<br />

Bfc. J@ no fut» <strong>de</strong>mandé plus rien. Je me retire.' Je sens<br />

ffue je défias incommo<strong>de</strong>, et que je me brouffle avoc tous<br />

Ira iras m Un* Ah! siallieuiiêuxffi'al<strong>la</strong>ifrje faire ?JW-<br />

r<br />

. pas ; car on sait qui cette pièce ntoft adcuii àuccisr<br />

De pareils traits et une foule d'autres, pârtIeuM|rement<br />

celui <strong>de</strong>. <strong>la</strong>" spppositios <strong>de</strong>s enfants, quiltys<br />

fient plus «ronV fois dans'les ouffages di même<br />

auteur, et les obscénités #mt ils sont remplis ^ éii-Vfont<br />

nous faire penier.que <strong>la</strong> licence <strong>du</strong> théâtre'était<br />

égale à <strong>la</strong> corruption <strong>de</strong>s isecors.. ' •. • ' •

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