la harpe. cours de littérature - Notes du mont Royal

SIÈCLE DE LOUIS XIV. - POESIE
Jvee tant ® h fwd noua a donnée,
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Uur. Celles t pins de douceur et de grlee- iCL
a pénètre en peu plis de poésie. 6grltoMi,ltw
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Et dans leurs hnnUdea paima
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m Famossï ne s'en mêlait pal.
« «t l'âme de l'onlvers ;
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na que le degré de force qui convient à l'idylle.
de te pièce est du même ton. Celle des Moutons est
encore supérieure puisqu'elle a un charme^uÏÏ
gravée dans la mémoire des amateurs. C'est là son
Plus grand éloge et il me dispense d'en direX"*
ftjîLïr ndre * f 8 deux J° liw Myifc. celle
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moralités vagues, ne peuvent leur être comparées
ni pour les pensées ni pour le style. On peut te
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idylles qu, nous restent de madame Deshoulières, a
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me semble qu'on peut y ajouter une églogue qu'on
Ce dernier irers est très-joli f et la fin de la pièce
w rapporte très-bien an commencement. L'mtew
a dit i
fi»t des poésies de Deshoulières les éditeui des
Annale* poétUptet.
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Ptepuatt à l'hiver on triomphe facile.
Modalt d^Jà 1M nolU plot longues que teâ Joani •
Quandta> beigen Iris, de mlltaappM or^^^ ,
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