L-DRIVE - Schweizerischer Fahrlehrerverband

aPPort aNNUEl 2011
Commission de la communication
L-DRIVE, c’est plus qu’un organe associatif
Pas besoin d’être
prophète pour le
savoir: Au royaume
des médias
électroniques et
en ligne, le texte
imprimé n’est pas
mort. L’organe officiel
de l’ASMC,
L-DRIvE, en est la
preuve. Bien qu’il
ne paraisse que
quatre fois par
année, ce magazine
s’est fait une
bonne réputation parmi les membres de
l’ASMC tout comme dans les milieux professionnels
que les moniteurs et monitrices
de conduite intéressent à un titre ou à un
autre. Pour preuve, l’écho que déclenchent
surtout les «dossiers» et d’autres articles
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«techniques». Lorsqu’elle a repensé la
conception de l’organe associatif il y a six
ans, la commission de rédaction s’est fixé
pour objectif de remplacer la publication
qui avait pris de l’âge par un produit qui
ne serait plus réservé exclusivement aux
questions touchant l’association mais ne
négligerait pas pour autant la communication
interne. Il est permis de dire aujourd’hui
que ce but a été largement atteint. L-DRIvE
qui paraît intégralement dans trois langues
est la carte de visite de l’association.
L’intérêt que suscite le magazine se
mesure également à son succès sur le
marché très convoité de la publicité. Géré
par la société Hug Annoncen, le marketing
annonces a couvert l’équivalent de 33,75
pages (y compris 12 pages de couverture)
sur un volume total de 220 pages, dont 16
pages de couverture. Sous la houlette de
Martin O. Hedinger, la partie rédactionnelle
s’est chiffrée à 182,25 pages, soit 4 de
plus que durant l’exercice précédent.
Newsletter et site
Les 23 éditions de la newsletter électronique
ont permis de tenir les membres
au courant de l’actualité. Moderne et économique,
ce moyen de communication
permet d’informer sans délai au gré des
besoins. Les membres de l’ASMC ne disposent
pourtant pas tous d’une adresse
électronique.
Durant l’exercice écoulé, le site de l’association
n’a pas pu être optimisé dans la mesure
souhaitée, pour des motifs financiers
en particulier. En allemand, le site permet
de satisfaire les besoins élémentaires des
visiteurs, alors que la version française
présente des lacunes et que la version italienne
en est toujours à l’état de chantier
virtuel. Hans-Ulrich Büschi n