aujourd'hui

Dossier
Comment fait-on ?
Ce projet d’investissement conséquent, dont la mise en
œuvre s’échelonnera sur 10 ans, doit s’appuyer sur un
diagnostic précis dans les écoles. (voir le tableau qui suit)
Sur la base de ce diagnostic, la Ville a engagé la réflexion
qui lui permet d’explorer toutes les pistes possibles. A ce
stade, aucune décision n’a été prise. Mais aucune hypothèse
ne doit être écartée, pas même l’hypothèse de la
fermeture d’une ou de plusieurs écoles sur la ville.
Une réflexion par secteur
Engagée par secteur, cette réflexion s’achèvera d’ici à la
fin de l’année scolaire. Elle permettra à la Ville d’arrêter
un plan d’action et de prévoir les investissements nécessaires.
Certaines actions pourront être mises en place dès
la prochaine rentrée scolaire.
C’est par Estressin que ce travail débutera avec une nouvelle
réunion prévue début novembre. « Il y a des choses
à faire, je suis pour, il faut y aller », s’est enthousiasmé
une directrice. « Si la fermeture de classes et de possibles
regroupements respectent les enfants, ça peut être une
bonne chose », a convenu une enseignante.
Il s’agit de se donner les moyens de changer les choses,
pour le bien-être et l’épanouissement des écoliers, tout
comme du personnel éducatif, en respectant trois exigences
principales : conserver au moins un groupe scolaire
par quartier, veiller à la mixité sociale au sein de
chacune des écoles, et s’assurer que la réorganisation
des établissements soit faite en toute équité entre chaque
quartier.
Le diagnostic révèle en effet que, sur l’ensemble des
écoles de la ville, nous avons aujourd’hui 37 classes vides
et 66 classes dédiées à d’autres activités, alors même que,
par ailleurs, des besoins sont non satisfaits dans certains
établissements par manque de classes disponibles.
OSSIER
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