Full text - Faculty of Social Sciences - Université d'Ottawa

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Volume 3: pages 41–65 March/mars 2009 www.ipc.uOttawa.ca Revue de L’ IPC R E V I E W New Labour and Crime Prevention in England and Wales: What Worked? Enver Solomon Deputy Director of the Centre for Crime and Justice Studies King’s College London, UK Résumé Depuis son arrivée au pouvoir en 1997, le gouvernement travailliste a entrepris une réforme de la justice pénale sans précédent dans l’histoire britannique moderne. Tous les organismes de justice pénale ont fait l’objet d’une évaluation et d’une réforme dans une tentative « d’être efficace contre le crime et les causes du crime ». Il y a également eu des investissements importants pour étendre la portée du système de justice pénale. Le bilan du Parti du travail, cependant, a été mitigé. Un examen des progrès accomplis sur la réduction de la criminalité, la lutte contre les comportements antisociaux et l’augmentation du nombre d’infractions traitées par le système pénal révèle que fournir un modèle efficace de contrôle et de prévention de la criminalité s’est avéré extrêmement difficile. Un certain nombre d’enseignements importants sont identifiés pour les praticiens et les décideurs politiques au Canada. Les dangers d’un contrôle centralisé et de cibles trop précises, les conséquences de la création de silos à l’intérieur de silos, la nécessité d’un équilibre entre la prévention et la répression, le besoin de se prémunir contre l’expansionnisme et de reconnaître les limites des activités de la justice pénale, et l’importance d’incorporer une véritable approche basée sur les éléments de preuve sont tous mis en évidence. La principale leçon à tirer est que des stratégies situationnelles efficaces de contrôle et de prévention peuvent faire une différence. Mais, adresser la victimisation des jeunes exige une plus grande compréhension des causes de la criminalité et du désordre social, et il est préférable d’aborder la question par des interventions sociales plutôt que pénales.

Volume 3: pages 41–65<br />

March/mars 2009<br />

www.ipc.uOttawa.ca<br />

Revue de L’<br />

IPC<br />

R E V I E W<br />

New Labour and Crime<br />

Prevention in England and Wales:<br />

What Worked?<br />

Enver Solomon<br />

Deputy Director <strong>of</strong> the Centre for Crime and Justice Studies<br />

King’s College London, UK<br />

Résumé<br />

Depuis son arrivée au pouvoir en 1997, le gouvernement travailliste a<br />

entrepris une réforme de la justice pénale sans précédent dans l’histoire<br />

britannique moderne. Tous les organismes de justice pénale ont fait l’objet<br />

d’une évaluation et d’une réforme dans une tentative « d’être efficace contre<br />

le crime et les causes du crime ». Il y a également eu des investissements<br />

importants pour étendre la portée du système de justice pénale. Le bilan du<br />

Parti du travail, cependant, a été mitigé. Un examen des progrès accomplis<br />

sur la réduction de la criminalité, la lutte contre les comportements<br />

antisociaux et l’augmentation du nombre d’infractions traitées par le<br />

système pénal révèle que fournir un modèle efficace de contrôle et de<br />

prévention de la criminalité s’est avéré extrêmement difficile. Un certain<br />

nombre d’enseignements importants sont identifiés pour les praticiens et<br />

les décideurs politiques au Canada. Les dangers d’un contrôle centralisé et<br />

de cibles trop précises, les conséquences de la création de silos à l’intérieur<br />

de silos, la nécessité d’un équilibre entre la prévention et la répression, le<br />

besoin de se prémunir contre l’expansionnisme et de reconnaître les limites<br />

des activités de la justice pénale, et l’importance d’incorporer une véritable<br />

approche basée sur les éléments de preuve sont tous mis en évidence. La<br />

principale leçon à tirer est que des stratégies situationnelles efficaces de<br />

contrôle et de prévention peuvent faire une différence. Mais, adresser la<br />

victimisation des jeunes exige une plus grande compréhension des causes<br />

de la criminalité et du désordre social, et il est préférable d’aborder la<br />

question par des interventions sociales plutôt que pénales.

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