1 - IAEA Nuclear Data Services

- 186 -
17 jusqu'à 1 kev et on peut encore en déceler beaucoup d'autres jusque
vers 4 kev, énergie supérieure de la mesure,
La figure 14 montre sur le même diagramme
e 0
-" 2q 1^ et
e
2- l. qui
sont la somme de 0 à E respectivement des largeurs neutroniques réduites
et des largeurs de fission ; ces deux quantités sont tracées en fonction de
e
E. On constate que vers 40 ev, la quantité ¿— * augmente très rapi-
dement alors que l'autre quantité ¿¿ ^3% ne présente aucune anomalie. De
même, on constate que la section efficace totale ne présente aucune anoma­
lie aux énergies des pics observés en fission au-dessus de 40 ev. On peut
donc parler d'une structure intermédiaire qui ne peut pas être expliquée
par un mode spécial de formation de noyau composé par l'intermédiaire
d'un état porte. Il semble au "contraire que ce soit le couplage des états du
noyau composé à la voie de sortie de fission qui soit plus intense à certaines
énergies discrètes : 40 ev, 118 ev, etc, . ,
La distribution des largeurs de fission pour les résonances situées en-
dessous de 80 ev est portée sur la figure 15, Lorsqu'une résonance n'est
pas observée en fission, il est néanmoins possible de déterminer une va­
leur supérieure de sa largeur de fission appelée 'p t«la)£ . Une valeur
approximative de If peut être prise égale à —- ' cM . La distribution
2
ainsi obtenue est incompatible avec une seule famille en X . Il faut ad­
mettre l'existence d'au moins deux familles dont les valeurs moyennes
sont