VALERIU SÎRBU, Arheologia funerară şi sacrificiile: o terminolo
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212 COMPTES-RENDUS<br />
Ioana Robu<br />
CRISTIAN F. SCHUSTER, ALEXANDRA COMŞA, TRAIAN POPA,<br />
The archaeology of fire in the Bronze Age of Romania, Bibliotheca<br />
Musei Giurgiuvensis, Monograph Series, II, Giurgiu, 2001, 212 p., y<br />
compris 42 fig.<br />
L’ouvrage qui fait le sujet de notre présentation s’encadre dans un<br />
domaine large de recherche, ainsi qu’il nous suggère le titre, celui de<br />
l’ „archéologie du feu”, un domaine qui, malheureusement, n’a pas été<br />
exploité encore directement proportionnel avec son importance. Les<br />
auteurs d’ouvrage, par conséquence aux signales lancés à la réunion de<br />
l’Association Européenne des Archéologues de Lisbonne (septembre<br />
2000), ont actionné promptement dans ce sens; ils ont rendu leur<br />
contribution à ce domaine de recherche avec un ouvrage, un «corpus»<br />
des données relatif à la relation entre le feu et de divers matériaux, objets,<br />
architecture, environnement et l’homme pendant l’Âge du Bronze sur le<br />
territoire de la Roumanie.<br />
En essayant de faciliter la compréhension de la complexité du feu<br />
en tant que phénomène, mais surtout qu’«artefact» (comme l’appelle dr.<br />
Dragoş Gheorghiu, dans la Préface d’ouvrage – p. 7-8), les auteurs ont<br />
fait l’appel à quelques données et modèles ethnologiques cueillis des<br />
régions traditionnelles de la Roumanie, contribuant ainsi à<br />
l’accomplissement de l’image du feu en tant que phénomène sacré et<br />
séculaire.<br />
Ainsi que les auteurs d’ouvrage font attention depuis l’Introduction<br />
(p. 9-10), étant donné le fait que cet ouvrage est le premier essai de ce<br />
genre en Roumanie, les lecteurs pourront constater, à son parcours,<br />
quelques hésitations ou confusions, lacunes d’informations ou même des<br />
“analogies et conclusions qui ne conviennent pas” (p. 9).<br />
D’une relevance majeure nous semblent être les données<br />
d’anthropologie culturelle auxquelles ont fait appel les auteurs d’ouvrage<br />
dans le premier chapitre (Le feu et les Roumains. Une possible<br />
interprétation: p.11-24), un domaine qui, pour beaucoup de chercheurs<br />
roumains, est encore un terrain des sables mouvants. En commençant<br />
par des données d’ordre linguistique et continuant avec celles<br />
d’anthropologie culturelle et d’ethnologie (La fonctionnalité du feu aux<br />
Roumains; Le feu et la divinité; Le feu et les hommes), l’entier chapitre se<br />
présente comme une somme des habitudes et croyances liées de feu aux