Saria News 2/02 - Saria Bio-Industries AG & Co. KG

J’épargnerai au lecteur des détails
souvent «délicats» qui nous attendaient
dans les différentes exploitations.
Cela n’est probablement pas
supportable pour tout le monde.
Certains même se moquèrent ensuite
de moi : «Des conditions idéales : le
lundi, après un long week-end bien
chaud... !» Mais c’est peut-être
justement ce détail qui m’a fait voir
clairement l’immensité de la tâche de
SARIA et de ses chauffeurs et
employés des usines d’équarrissage
qui accomplissent ce travail «pas net»
: il s’agit ici de lutte contre les
épidémies, de prévention des
épidémies, d’hygiène publique, de
Dans un élevage :
Klaus Müller charge le
cadavre dans son camion
de collecte
Auf einem Bauernhof: mit
dem Greifarm lädt Klaus
Müller gefallene Tiere in
sein Sammelfahrzeug
den während des Wochenendes
eingegangenen 170 Tiermeldungen
abhörte und die Daten in den
Computer eingab: „Ja, hier Bernsm...,
....straße 13, Loiku..., 1 Fresser....“.
Wie man das verstehen kann, weiß
der Teufel. Aber langjährige Übung
macht die Meisterin.
Kurzum, um 6.00 Uhr wurden alle
Abholscheine nach Postleitzahlen
ausgedruckt und an die einzelnen
Fahrer übergeben. Diese setzten sich
protection de l’environnement dans
le sens le plus large du terme (se
reporter à l’encadré ci-contre).
Nous avons chargé ce lundi-là au
total 27 cochons, 20 porcelets, 10
veaux, 1 cheval, 1 poney, 2 vaches,
1 mouton et une quantité importante
de poulets.
Klaus Müller connaît sa tournée. Un
bref regard sur ses ordres d’enlèvement
lui suffit pour tourner dans le
prochain chemin vicinal et arriver
sans se tromper à la prochaine ferme.
Les bêtes se trouvent le plus souvent
dans le coin le plus à l’écart,
dann im Aufenthaltsraum an die
Tische, um bei einer Tasse Kaffee
oder Tee ihre Abholtour zu optimieren.
Das gesamte Einzugsgebiet der
TBAen Marl und Linnich (bei
Aachen) reicht von Hopsten im
Norden, Menden im Osten, über
Monschau im Süden bis an die
holländische Grenze im Westen. Das
Gebiet teilen sich insgesamt 50
Fahrer, die es auf unterschiedlichen
Touren von Montag bis Freitag, bei
Feiertagen oder Seuchenfällen auch
fréquemment recouvertes seulement
d’une bâche, quelquefois dans des
coffres maçonnés avec des couvercles,
ou dans des brouettes, voire
même dans des poubelles. Une fois,
alors que l’un des paysans demande
à Klaus Müller s’il a bien déposé
l’animal, celui-ci répond avec son
humour profond : «Exactement ce
qui lui faut : un coin bien ensoleillé
et puis une bâche noire par dessus ... !»
Vers trois heures de l’après-midi
nous avons fait 37 arrêts, nous
sommes donc bien dans la moyenne,
et nous revenons à l’usine. Mais,
avec 235 km, nous sommes en
schon mal Samstags, vollständig
„hygienisieren“. Durchschnittlich
werden 16 Touren für gefallene Tiere
und 11 Touren für Schlachtabfälle
gefahren.
Mein Fahrer ist Klaus Müller (38),
seit 16 Jahren in Marl beschäftigt,
verheiratet und Vater eines 7jährigen
Sohnes, der ihn „beim Wettschwimmen
schon mal abhängt.“ In ihren
blütenweißen Overalls machen die
Fahrer einen blendenden Eindruck.
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