1 - Horntip

Die heiligen Gorgone.
Ein Beitrag zur Kenntnis phallischer Gebräuche neuerer Zeiten.
Von Friedrich S. Krauss.
Im Museum Dr. A. M. Pachingers zu Linz befinden sich in einem
handgroßen, mit einem Glasdeckel geschlossenen Schächtelchen die auf
Tafel IV. abgebildeten drei Glasfigürchen, von denen der mittleren das Gemachte
abgefallen ist. Auf der Rückseite der Schachtel steht zu lesen:
Saints Gourgons.
Espèces d'Amulettes du culte catholique connues sous ce nom. La fête
ou assemblée de St. Gourgon (Gorgon ou Gorgone martyr au IV siècle qui
était officier de la maison impériale s'est toujours célébrée à St. Georges de
Rocher ville, célèbre Abbaye, â deux lieues de Rouen, où il avait une chapelle
et où son souvenir était vénéré, le dimanche plus vodûn? du 9. septembre). Maintenant
(1821) les habitants de Rouen ne se rendent plus ordinairement que
jusqu'à la côte Cantelen où se réunissent les marchands.
Parmi les objets qui l'y vendent les St. Gourgons sont très remarquables;
après avoir été bénits à l'Eglise, Us sont achetés par les jeunes gens qui
les attachent à leurs boutonnières et en font cadeau aux jeunes filles qui les
portent aussi ostensiblement. Saints Gourgons.
Ein ähnlicher Brauch besteht in Indien, nach Sonnerats Zeugnis : *)
„Les Indiens ont encore un petit joyau, d'or ou d'argent, appelée Taly,
que les femmes pendent ordinairement à leur cou comme une amulette. Elles le
reçoivent, le jour de leurs noces, des mains de leurs époux, qui, eux-mêmes,
le tiennent des Brames. Ces bijoux portent l'empreinte de quelques hiéroglyphes
qui représentent le Pulleiar ou le Lin gam.
D u 1 a u r e zählt in seinem Werke Des divinités génératrices ou du culte
du Phallus, S. 234—263, aus französischem, deutschem, holländischem, englischem,
italienischem und spanischem Gebiet eine Reihe christlicher Heiligen
auf, deren Verehrung er als eine Christianisierung des Phalluskultes hinstellt.
Die Richtigkeit dieser Verwandlung wäre allerdings in jedem Sonderfalle erst
genau zu erhärten. Im hellenischen und römischen Altertum suchten unfruchtbare
Frauen bei Priapen Rat und Hilfe, die christlichen Frauen wenden
*) Voyage aux Indes et à la Chine, par Sonnerat, depuis 1774 jus*
qu'en 1781, tom. I,, liv. 2.