1 - Horntip

dabei ertappen lassen. Es spricht sogar manches dafür, daß die
Weiber als die rückständigeren weitaus häufiger als die Männer ihren
Leib Tieren preisgeben].
Cette déviation de l'appétit génésique tire souvent son origine de
préjugés répandus dans le peuple et dont la science aura raison.
Dans quelques pays, en Perse par exemple [auch bei den Chrowoten],
elle tire son origine de l'idée fixe qu'on peut par cet acte se
débarrasser de la gonorrhée, de même qu'en Europe cette croyance
est encore très répandue, qu'on peut se guérir du mal vénérien, en
faisant le coït avec une petite fille. 1
)
De nos jours, dans certaines contrées de l'Orient, en Syrie, en
Egypte, en Afrique, la bestialité est encore très répandue et n'est pas
considérée avec l'horreur et le dégoût qu'elle inspire en Europe [unter
uns Kulturmenschen].
Tout n'est qu'une affaire de moeurs, de tempérément, de coutumes.
[Den Beweis hiefür erbringen erst unsere folkloristischen Erhebungen;
denn D. D. drückt vorläufig bloß seine subjektive Überzeugung aus].
Le milieu particulier où vit un individu lui crée une nature spéciale
et comme les besoins de l'homme sont partout les mêmes, il les satisfait
comme il peut
Les moeurs d'un Parisien ou d'un lord anglais ne peuvent être
celles d'un pêcheur breton ou d'un vacher suisse et les leurs ne peuvent
être celles du chamelier arabe ou du groënlandais.
Trop de facteurs différents concourent à produire les races pour
qu'on puisse unifier la morale humaine. L'hérédité, le climat, l'éducation,
le milieu social, la richesse ou la misère, apportent chacun un
germe différent.
L'être humain n'est pas toujours le maître de ses actes; son existence
dépend de facteurs ennemis ou alliés contre lesquels il lui est
quelquefois impossible de réagir.
i) Dr. Albert Hell wig erklärt vollkommen zutreffend diesen Brauch. (Die Beziehungen
zwischen Aberglauben und Strafrecht. Ein Kapitel aus der volkskundlichen
Kriminalistik. Schweizer. Archiv f. Volkskunde, X, 1906, S. 36 f.) ,Es ist dies eine dem
Einpflöcken analoge Erscheinung. Wie man dort glaubt, den Krankheitstoflf auf einen
Baum übertragen zu können, so meint man hier, die Krankheit einem besonders reinen
menschlichen Individuum oder einem Tiere einimpfen zu können, und zwar ist der Gedanke
hier wie beim Einpflöcken der, daß diejenige Person, welche als Heilmittel dient,
nicht etwa nun ihrerseits krank werde, sondern vermöge ihrer größeren inneren Kraft
siegreich den Kampf mit dem empfangenen Krankheitstoff aufnehme/ Die Belege entnahm
Dr. Hellwig dem bekannten Werke Bernhard Sterns, Aberglaube und Geschlechtsleben
in der TUrkei, Berlin 1903. Ihre Zahl ließe sich bedeutend vermehren,
zumal, wenn man aus den Archiven der Kriminalgerichte schöpfen könnte.