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Abstractband 2012 - Jahreskongress gynécologie suisse, SGGG

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Nr. P 128Vesikovaginale Fistel: Der steinige Weg zur DiagnoseAutoren/ Auteurs: Rüegger J., Kaufmann M., Ulrich R.Klinik/ Clinique: Frauenklinik, Spital BülachEINFÜHRUNG: Wir berichten über eine 74-jährige Patientin, welchesich bei langjährig bekannter Zystocele Grad II mit neu aufgetretenem,unkontrolliertem Urinverlust vorstellt. Rezidivierende Harnwegsinfektewerden vom Hausarzt mit nur kurzfristigem Erfolg behandelt. EinAnticholinergikum bringt keine Besserung der Inkontinenz. Es kommtzu chronischen Ulzerationen am perinealen Oberschenkelansatz.MATERIAL UND METHODEN: Klinischer Fallbericht.ERGEBNISSE: Die Patientin wird vom Hausarzt an eine externe Urologinüberwiesen. Es wird vorgeschlagen, die Inkontinenz im infektfreienIntervall mittels Bandeinlage zu therapieren. Abermalige Harnwegsinfekt-Therapie.Vorstellung beim Gynäkologen, welcher beidringendem Verdacht auf eine Fistel eine erneute urologische Untersuchungveranlasst. Die Fistel wird zunächst als Portio fehlinterpretiert.Erst die sorgfältige und schmerzfreie Diagnostik mittels Kolposkopieund Urethrozystoskopie in Narkose beweist die vesikovaginaleFistel fast 1 Jahr nach Symptombeginn.SCHLUSSFOLGERUNGEN: Die Klinik von kontinuierlichem, unkontrolliertemHarnverlust ist typisch für eine vesikovaginale Fistel. Fistelnsind in den „high income“ Ländern eine Rarität. Im Rahmen einer Inkontinenzabklärungsollten sie jedoch differentialdiagnostisch in Betrachtgezogen werden. Die Diagnose ist nicht trivial, insbesonderekann eine Fistel für den Muttermund einer Portio à Niveau gehaltenwerden. Eine vesikovaginale Fistel kann mit lokalen Begleitproblemeneinhergehen und das soziale Leben beeinträchtigen. Im beschriebenenFall konnte keine der gängigen Ursachen einer Fistel eruiert werden.Nach operativer Sanierung der Fistel von vaginal her durch Exzisionund primären Verschluss ohne Gewebeinterposition ist diePatientin bis auf eine leichte Drang-Symptomatik beschwerdefrei.Letztere kann mittels Anticholinergikum gebessert werden. Die Ulzerationam Oberschenkel ist nach Exzision und primärem Verschlussverheilt.Nr. P 129Saignement vaginal révélant un cancer gastrique: Uncas rare de métastase au niveau du col de l’utérusd’un cancer gastrique et revue de la littératureAutoren/ Auteurs: Jellouli M.A., Khomsi F., Samim A.,Bouquet De La Jolinière J., Vlastos A.-T., Dubuisson J.-B., Feki A.Klinik/ Clinique: Hôpital cantonal, FribourgIntroduction: Les métastases du col de l'utérus de cancers nongynécologiquessont rares, en particulier celles d›un carcinome gastrique.Les caractéristiques physiopathologiques de ces métastases nesont pas claires. Immunohistochimie, scanner et biopsies supplémentairessont souvent nécessaires pour identifier le carcinome primitif.Objectif: A travers un cas récent d’une métastase d’un carcinomegastrique diagnostiqué au niveau du col de l›utérus d›une patiente géréenotre hôpital, nous allons essayer de démontrer la nécessité de réaliserdes examens complémentaires pour établir le diagnostic appropriéet à travers une revue de la littérature d’expliquer les mécanismesphysiopathologiques de cette métastase atypique.Cas: Mme D, 34 ans, 1 Geste, 1pare, d'origine portugaise, sans antécédentsmédicaux particuliers, a été admise pour des douleurs pelvienneset des saignements vaginaux évoluant depuis 3 semaines, dansun contexte d'anorexie et d’une perte de poids 4kg. A l’examenmacroscopique, le col de l'utérus était normal, mais avec des saignementsprovenant de l'endocol. Le toucher vaginal retrouve une massede 4cm sur l'isthme qui a été confirmée par un scanner abdomino-pelvien.Le PAP Test a révélé un adénocarcinome. Le curettage utérin parPipelle de Cornier a confirmé le diagnostic d›un carcinome métastatiquedu sein ou de l'estomac. L'analyse immunohistochimique de labiopsie cervicale a confirmé l’origine gastrique. En outre, l’échographiepelvienne et la tomodensitométrie pelvienne ont exclu la présenced'un syndrome Kruckenberg. Une deuxième lecture du scanner abdomino-pelviena révélé un épaississement de la paroi gastrique postérieure,évoquant une tumeur gastrique. Ce diagnostic (adénocarcinomegastrique) a finalement été confirmé par la gastroscopie et la biopsiede la partie postérieure de l›antre. Une coloscopie n›a pas pu être faiten raison de la compression extérieur du sigmoïde par une carcinosepéritonéale. La conclusion de l’analyse histologique était en faveurd’une linite gastrique. Mais après avoir réalisé des examens immunohistochimiques(la coloration PAS, HER2, P16, P53 et E-Kaderine) le diagnosticfinal était un adénocarcinome gastrique peu différencié (typediffus dans la classification Lauren). Enfin, les examens génétiques ontexclu un syndrome de Lynch ainsi que le syndrome de linite gastriquede la population portugaise. La patiente a commencé immédiatementune chimiothérapie.Conclusion: Ce cas illustre la possibilité de la détection d›un cancerde l'estomac à travers une localisation atypique d’une métastase. Unenéo-lymphovascularisation ainsi qu’une vitesse de flux lymphatiquerétrograde sont les seules théories jusque-là admises dans la littératurepour ce type rare de métastase. Le déficit en certains marqueursgénétiques est également admis par de nombreux auteurs, mais pasencore confirmé. Malheureusement, la chimiothérapie palliative restel’unique traitement à ce stade avancé de l›adénocarcinome gastrique.59

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