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Abstractband 2012 - Jahreskongress gynécologie suisse, SGGG

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<strong>Jahreskongress</strong> <strong>gynécologie</strong> <strong>suisse</strong> <strong>2012</strong>Poster ohne Präsentation / Poster sans présentationNr. P 114Nr. P 115Mais oû est passé le stérilet?Autoren/ Auteurs: Nessi A., Francini K., Capoccia Brugger R., Lepigeon K.,Vial Y.Klinik/ Clinique: Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, LausanneOBJECTIFS: Nous avons mesuré de manière retrospective les dimensionsde la cavité utérine des patientes adressées pour suspicion de malpositiondu stérilet afin d’évaluer si la taille de la cavité utérine était liéeau risque de déplacement d’un stérilet.MATERIELS ET METHODE: Il s’agit d’une étude retrospective sur 14mois évaluant 80 patientes. Nous avons étudié les acquisitions volumiquesréalisées lors de l’échographie visant à contrôler la position dustérilet. Les indications à ces examens étaient des femmes ayant aucontrôle gynécologique clinique des fils soit non visible soit trop longslors du contrôle un mois après la pose du stérilet. Nous avons effectuéune revue de la littérature sur l’utilisation de l’échographie 3D pourcontrôler la position du stérilet ainsi que la corrélation entre la taille dela cavité utérine et les stérilets déplacés.RESULTATS: Sur les 80 dossiers, 4 n’ont pas pu être retrouvés dans labase de données. L’échographie 2D couplée au 3D a mis en évidence13 stérilets déplacés (17%). L’analyse du plan coronal à partir del’acquisition 3D nous a permis de mesurer la taille moyenne de la cavitéutérine de ces 76 situations. Lors de stérilet déplacé, la largeur moyenneest de 25,9 mm, elle est de 28,3 mm quand le DIU est en place cequi n’est pas statistiquement significatif (P 0.075). La hauteur utérinen’est pas non plus différente dans ces deux groupes. Dans la plupartdes cas l’écho 2D permet de determiner la position du stérilet.L’échographie 3D facilite l’examen dans des positions particulières duDIU (stérilet inversé) ou lors de migration en partie myométriale.CONCLUSIONS: Bien que la littérature ait montré une largeur significativementplus petite lors de déplacement du DIU, nous ne pouvonsque remarquer une tendance similaire dans notre travail. Le taux élevéde stérilet déplacé justifie à nos yeux un contrôle échographique systématiquedes DIU 4 à 6 semaines après la pose.Distribution des génotypes du papillomavirus humainparmi les femmes camerounaises atteintes du cancerdu col de l’utérusAutoren/ Auteurs: 1) Pirek D., 1) Petignat P., 2) McKee T., 2) Pache J-C.,3) Vassilakos P., 4) Sando Z., 2) Rubbia-Brandt L., 2) Ho L.Klinik/ Clinique: 1) Département de Gynécologie et d›Obstétrique, HUG,Genève, 2) Département de Pathologie clinique, HUG, Genève, 3) GenevaFoundation for Medical Education and Research, Genève, 4) Départementde Pathologie, HGOPY, Yaoundé, CamerounOBJECTIFS: Le Papillomavirus humain (HPV) est identifié dans près de100% des cancers du col utérin invasifs. Les données sur la prévalencedu HPV provenant des pays en développement sont particulièrementrares. A ce jour, aucune étude n’a été menée dans les pays de la région« Ouest-Centrale » Africaine. Notre objectif était de déterminer la prévalencedes différents génotype du HPV et ainsi de pouvoir estimer lepotentiel des vaccins prophylactiques actuels.METHODE: Nous avons reçu, du Département de Pathologie del’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé au Cameroun,171 échantillons de cancers du col utérin invasifs fixés dansdes blocs de paraffine. La présence du HPV a été révélée par polymérisationen chaîne (« polymerase chain réaction ») utilisant les amorces «Modified General Primers », et le génotypage a été réalisé par hybridation(« reverse blot hybridization ») permettant la détection de 16 typesHPV de haut risque (16, 18, 31, 33, 35, 45, 51, 52, 56, 58, 59, 66, 68, 73, 82),de 12 types de bas risque (6, 11, 34, 40, 42, 43, 44, 53, 54, 57, 70, 84) etde 4 types indéterminés (26, 55, 69, 83).RESULTATS: Les 171 cas ont été analysés. Le matériel de 11 échantillons(6%) n’était pas analysable. Au total, 8 types HPV différents ont étéidentifiés. Les trois types de haut risque les plus fréquemment rencontrésétaient les HPV 16 (81%) si l’on compte toutes les infections, simpleset multiples, 45 (25%) et 18 (14%). Parmi les infections doubles etmultiples, les génotypes les plus fréquents étaient le HPV 16 associéavec les HPV 18/45/56.CONCLUSION: Au Cameroun, la prévalence des infections imputéesau HPV 16 reste la plus importante. En revanche, la prévalence des HPV18 et 45 diffère en comparaison à la distribution mondiale, avec uneprévalence du HPV 45 supérieure à celle du HPV 18. La vaccination contreles HPV 16 et 18 aurait donc le potentiel de prévenir 75% des cancersdu col utérins invasifs parmi les femmes camerounaises. La méthodeutilisée s’est révélée sensible et spécifique pour le génotypage àgrande échelle d’échantillons fixés dans de la paraffine.52

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