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Abstractband 2012 - Jahreskongress gynécologie suisse, SGGG

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Posterohne Präsentation/ sans présenationP 100 - P 181Nr. P 100Délai optimal pour le contrôle après une interruptionde grossesse médicamenteuseAutoren/ Auteurs: Evangelopoulos N., Vial Y., Renteria S.-C.Klinik/ Clinique: Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, LausanneINTRODUCTION: L’échographie est la méthode de choix pour le suivid’une interruption de grossesse médicamenteuse (IG). Le contrôle destaux de beta-hCG pourrait être une alternative intéressante grâce à saplus grande accessibilité. Toutefois, le coût est comparable voiremême plus élevé qu’un examen échographique. Le protocole utilisédans notre service universitaire inclut impérativement un contrôleéchographique avant et après l’interruption. Le but était de comparerles données échographiques en fonction du délai entre IG et date ducontrôle. Ceci afin d’éviter des actes médicaux inutiles, réduisant ainsiles coûts et améliorant la satisfaction des patientes.MATERIEL ET METHODES: Etude prospective de 788 femmes, dont426 (54%) nullipare et 362 (46%) multipare, avec un âge gestationnelmoyen de 46 jours (intervalle 33-67 jours) ayant bénéficié d’une IG médicamenteusedepuis avril 2010. Pendant l’étude, le délai entre l’ interruption(par mifepristone-misoprostol) et contrôle échographique aété progressivement augmenté, allant de 9-11, 12-14, 21-28 jusqu’à 29-35 jours. Les échographies sont effectuées dans notre unité spécialisée.RESULTATS: Au moment du contrôle échographique, la contraceptionhormonale était instaurée chez 378 (48%) femmes, 195 (25%) avaientl’intention de débuter et 65 (8%) attendaient le résultat échographiqueavant de débuter une contraception par dispositif intra-utérinpar exemple. L’expulsion était d’emblée considérée comme complètechez 383 femmes (49%). Neuf grossesses ont évolué. Un curetage évacuateura été effectué chez 96 femmes (12.18%). L‘épaisseur endometrialevariait de 2–30 mm (moyenne de 10 mm) au moment du contrôle.Malgré les intervalles différents, aucune différence statistique n’a puêtre mise en évidence pour les délais entre 9 et 28 jours. Le délai de 29-35 jours a été instauré trop récemment pour permettre de tirer desconclusions.CONCLUSIONS: La nécessité de recourir à un traitement complémentaireet même de procéder à un curetage pour obtenir la vacuité utérineaprès IG médicamenteuse reste plutôt fréquent. Même si nousn’avons pas observé de différence en ce qui concerne l’épaisseur del’endomètre jusqu’ à 28 jours après l’interruption, l’épaisseur pourraitêtre diminuée entre le 29ème et le 35ème jour. Retarder le contrôle seraitcourir le risque de découvrir une grossesse évolutive au 2ème trimestre.Plus d’études sont nécessaires afin d’évaluer l’intérêt d’un examenadditionnel par échographie doppler ou dosage des beta-hCG.Nr. P 101Die Ovulationsinduktion durch die pulsatile Verabreichungvon GnRH: eine Renaissance?Autoren/ Auteurs: De Geyter Ch., Moffat R., Sartorius G., Raggi A.Klinik/ Clinique: Gynäkologische Endokrinologie - Reproduktionsmedizin,Universitätsspital BaselEINFÜHRUNG: Die hypogonadotrope Ovarialinsuffizienz WHO I gehtmit einer chronischen Anovulation einher. Bei Kinderwunsch stehendie Stimulation der Follikelreifung mit einem LH-haltigen Gonadotropinpräparatsowie die pulsatile Verabreichung von GnRH zur Verfügung.Leztere Möglichkeit gilt als die sicherste bei vergleichbarer Effektivität.Seit 2010 wird die für letztere Therapieform notwendigePumpe Zyklomat (Disetronic) nicht mehr hergestellt. Mit LutrePulsegibt es jetzt ein neuartiges Verabreichungssystem für GnRH.MATERIAL UND METHODEN: Im Sinne eines Pilotprojektes wurdesechs Patientinnen, bei denen eine hypogonadotrope OvarialinsuffizienzWHO I diagnostiziert wurde, mit LutrePulse behandelt. Die Diagnosewurde zuvor anamnestisch und laborchemisch, einschliesslich einesGnRH-Provokationstestes, bestätigt. Alle drei Tage wurde dasschlauchfreie Omnipod-Transfersystem (Ypsamed) mit Lutrelef (Ferring)aufgefüllt und ausgewechselt. Bei dieser Gelegenheit wurdeauch die Follikelreifung vaginosonographisch überwacht. Die Resultatewerden mit den Behandlungsergebnissen des früheren Zyklomat-Systems verglichen.ERGEBNISSE: Zwischen 1996 und 2010 wurden 25 Frauen mit der hypogonadotropenOvarialinsuffizienz WHO I mit der Zyklomat-Pumpe(Disetronic) behandelt und die kumulative Lebendgeburtenrate betrug64 % (16 Geburten). Es wurde keine Mehrlingsschwangerschaftregistriert. Bei fünf der sechs mit LutrePulse behandelten Patientinnenkam es rasch zur Follikelreifung. Bei vier Patientinnen kam es innerhalbvon zwei Menstruationszyklen zu einer intakten intrauterinen Einlingsschwangerschaft.SCHLUSSFOLGERUNG: Im Gegensatz zur Ovulationsinduktion mitGonadotropinen ist die Behandlung der hypogonadotropen OvarialinsuffizienzWHO I mit der pulsatilen Verabreichung von GnRH nahezuohne Entstehung von Mehrlingsschwangerschaften oder Überstimulationssyndrom.LutrePulse ist eine wirksame Alternative für die nichtmehr verfügbare Zyklomat-Pumpe.45

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