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Abstractband 2012 - Jahreskongress gynécologie suisse, SGGG

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<strong>Jahreskongress</strong> <strong>gynécologie</strong> <strong>suisse</strong> <strong>2012</strong>Video / VidéosNr. V 102Die Extrauteringravidität – häufige und selteneLokalisationenAutoren/ Auteurs: 1) Oehler R., 1) Imboden S., 2) Eberhard M., 1) Raio L.,1) Mueller M.D.Klinik/ Clinique: 1) Universitätsklinik für Frauenheilkunde, InselspitalBern, 2) Kantonsspital SchaffhausenDie Inzidenz der Extrauteringravidität (EUG) liegt bei 1-2% allerSchwangerschaften, mit steigender Tendenz aufgrund von Fertilitätsbehandlungenund Rezidiven. Weltweit ist die EUG eine der häufigstenTodesursachen in der Schwangerschaft.In den letzten Jahren hat die Entwicklung von hochsensitiven qualitativenund quantitativen beta-HCG Nachweismethoden, sowie höherauflösende Ultraschallgeräten die Diagnostik der EUG deutlich verbessert.Extrauteringraviditäten sind jedoch weiterhin ein alltäglichesProblem und auch heutzutage oft eine diagnostische und therapeutischeHerausforderung.Die erste erfolgreiche laparoskopische Behandlung einer Tubargraviditätgelangen Shapiro und Adler im Jahre 1973.Durch die Fortschritte der endoskopischen Chirurgie hat sich die laparoskopischeTherapie der EUG Ende des letzten Jahrhunderts als Standardetabliert. In speziellen Fällen ist die endoskopische Therapie derEUG trotzdem ein anspruchsvoller Eingriff.Im Video werden einerseits klassische Operationstechniken und andererseitsseltene Lokalisationen, Spezialfälle und deren Problemlösunggezeigt.Nr. V 103Le Richter laparoscopique: une nouvelle techniquepour traiter les prolapsus génitauxAutoren/ Auteurs: Dubuisson J.-B., Samim A., Dubuisson J.,Bouquet de la Jolinière J., Feki A.Klinik/ Clinique: Hôpital Cantonal, FribourgINTRODUCTION: Le but du traitement chirurgical des prolapsus génitauxest d’améliorer les symptômes, de corriger les dégradations duplancher pelvien et de replacer les organes descendus dans leur situationd’origine. Les dernières techniques en date concernent les techniqueslaparoscopiques reconstructrices utilisant des prothèses. Toutefois,l’utilisation de prothèses pour traiter le prolapsus des organespelviens a été critiquée par certains en raison de complications spécifiquesliées à celles-ci. C’est la raison pour laquelle nous envisageons lacure de prolapsus génital par laparoscopie sans utilisation de prothèses,dans des indications bien précises.MATERIEL ET METHODE: Le premier temps par laparoscopie est ladissection de l’espace de Retzius. Elle est menèe à droite jusqu’à voirdifférentes structures: le ligament iliopectiné, le muscle obturateur interne,le pédicule vasculo-nerveux obturateur, l’arcus tendineus fasciapelvi (ATFP), les faisceaux du muscle levator ani et l’épine ischiatique.Le ligament sacrospineux, plus interne, est ensuite repéré. Le fornixpostérolatéral droit du vagin est ensuite préparé. Les deux fils de fixationnon résorbables sont passés d’abord dans le ligament sacrospineuxsous contrôle de la vue puis dans le vagin.RESULTATS: De nombreuses techniques se pratiquent pour traiter leprolapsus de l’utérus et du dôme vaginal après hystérectomie. L’une desplus connues est la technique de spinofixation transvaginale selonRichter. On a reproché à cette technique transvaginale l’accès parfoisdifficile du ligament sacrospineux ainsi que le risque hémorragique dufait du passage souvent aveugle des points de fixation. Ces considérationsexpliquent les raisons pour lesquelles nous avons voulu adaptercette technique à la laparoscopie. Les indications du procédé de Richtersont précises: le prolapsus du dôme vaginal après hystérectomie,l’hystéroptose et la rectocèle haute. Cette nouvelle technique peutfaire l’objet de critiques. En matière d’accès, la distance pour atteindrele ligament sacroépineux est plus courte par voie vaginale que par voielaparoscopique. Toutefois, le passage des points par laparoscopie estplus précis car il se fait sous contrôle visuel. Le risque hémorragique estaussi plus faible pour la même raison.CONCLUSION: Le procédé de Richter laparoscopique est réalisable,sans risque élevé de complication. Il reste à évaluer les résultats à longterme et à les comparer aux autres techniques qui ont déjà fait leurpreuve.42

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