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pour m’écrire encore, ce sera me faire un véritable plaisir, mon mari, et toute ma<br />

famille vous offrent leurs plus tendres souvenirs, laissez moi vous dire, que je vous<br />

aime et vous aimerai toujours, et que je veux absolument que vous ayez une passion<br />

pour moi,<br />

Votre toute dévouée<br />

C. Pleyel<br />

Brief von Marie Pleyel an Monsieur de Trémont<br />

5. Dezember 1844<br />

Cote: VM BOB- 22565<br />

25 Déc bre 1844<br />

Cher et bon M r . de Tremont,<br />

Je ne saurais vous dire à quel point je suis contrariée de ne pouvoir jouer demain<br />

chez vous comme je l’espèrais. Vous savez que mercredi j’étais déjà préoccupée de<br />

mon doigt qui me faisait souffrir depuis deux jours; La fatigue que j’ai éprouvée<br />

jeudi soir en faisant de la musique pour quelques bons amis me met dans la<br />

complète impossibilité de faire trois notes et j’en éprouve un si vif regret que j’en<br />

suis presque malade. Vous comprendrez mieux qu’un autre tout mon chagrin vous<br />

qui connaissez la sincérité de mon attachement et le bonheur que j’aurais eu à me<br />

faire entendre chez vous. Plaignez moi donc du fond de votre cœur et permettez moi<br />

de vous renouveller l’assurance de mon affectueux dévouement.<br />

M. Pleyel<br />

Samedi (21. Decemb. 1844)<br />

Brief von Marie Pleyel an Madame Liszt 3<br />

Undatiert, Sonntagvormittag<br />

Cote: VM BOB- 22565<br />

Dimanche matin<br />

Voilà deux places pour mon Concert, chère M me . Liszt et je me serais fait un<br />

véritable plaisir de vous les porter moi même si depuis plusieurs jours je n’étais<br />

souffrante et forcée de garder la chambre. Conservez moi un amical souvenir et<br />

soyez sûre que je m’empresserai d’aller vous embrasser d’ici à bien peu de temps.<br />

Votre toujours affectionnée M. Pleyel<br />

rue vivienne N o . 3. hôtel des Etrangers.<br />

3 Denkbar wäre, dass es sich um Maria Anna Liszt, die Mutter Liszts, handelt, die nach dem Tod<br />

ihres Mannes 1827 nach Paris zog, um sich um ihren Sohn zu kümmern. Möglich wäre auch, dass<br />

der Brief an die Gräfin Marie d’Agoult, mit der Liszt zwischen 1833 und 1844 ohne Eheschließung<br />

zusammenlebte, adressiert ist, und dass Marie Pleyel die Beziehung durch die Anrede „M me<br />

Liszt“ sanktioniert.<br />

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