Zur Geschichte der Einfuhrung der jetzigen Ziffern in Europa durch ...
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113 90) ]:listoire gerieral de Languedoc. Pont. U. p. 41. Cette charte prouve aussi que le royaume de Gothie, ou de Septimanie dont il est p a rlé dans divers autres nionumeris du X siecle, s'étondoit on deça et en delà des Pyrenées l et qu'il comprenoit non-seulement la Septimanie propre, ou partie du Languedoc avec le Roussillon, 'nais encore la Marche d'Espagne ou Catalogue, contre le sentiment d'un moderne (an Bande licigedruct: Baluz.) qui paroit soûtenir que le sciA diocèse dUrgel dans la Marche d'Espagne, étoit compris (jans ce royaume. (loti bornerke. dam hier die Rode ist von, Jahre 904). 91) ibid. Tout. U. p. 111. La province étoit encore habitée dans ce siccle (mn Bande ist die Jahreszahl 975 angegeben) par differens peuples distinguez entr'eux, sçavoir les Romains, les Gels, et les Français, & chacun de ces peuples suivoit in loi qui lui étoit propre; c'est ce qu'on voit dans divers plaids tenus dans leliais ou aux environs' mi 918. 933 et 968. et où assisterent dos juges de la loi Romaine, de la Gothique, et de la Salique ou Françoise. Ces actes, et quelques autres prouvent que la loi Romaine fut en usage dans le Languedoc pendant tot t ce sicelo, di, moins pour les anciens habitaus du pais qui se conformoiorrt au code Tlieodosie.ir, comme il, est marqué expressement dans une chatte de Louis FA veugle ici du Provence de l'an 894. Quant é la loi Gothique, il y a des lu'euves qu'elle étoit encore en vigueur dans la province û la fin du X. siecle, ou au commencement du suivant. De la vient sans doute qu'on y oonservoit encore alors l'usage de dater quelquefois les chartes suivant 1ère espagnole. Les Romains, les Got.s & les François d'origine qui habitoient la province, y furent donc encore distinguez entreux pendant la seconde race de ros vois; mais il liaroit que depuis le commencement de la troisième ces trois peuples se mêleront & se confondirent pour n'en faire qu'un seul, qui ne suivit: quo la seule loi rorflaine. à quelques usages Imarticirliers près, qui s'introduisirent dans chnqne canton, ou qu'on retint des luix barbares. Tel fut par exemple, celui du duel permis alois par les loix aux parties, au défaut de preuves. Ibid. Torii. :11. I' 11 2. On divisoit aussi li la fin du IX siocle la monarchie fiance J_alite, & France Tudesque, par )'apport au différentes langues qu'oa y 1rarloit, ensoi'te qu'on se servoit de la Romaine ou d'sm latin corronipu dans la promniere qui reirfermoit le Languudoo, & de 1' Allemande dans l'autre. il paroit que nos rois parloicnt encore cette dcrnierc ail milieu du X. siecic. 92) Abrégé de l'histoire générale de Langnedoc. Tom, II p. 107. Les Normands se rendirent (lin Jaln'c 848) cependant niéitres de BOUT' deaux A la faveur de Juifs, qui étoicut d'intelligence avec eux. \iar'ea Hispanica. cul. 825. Post oppressos rebelles & perfides inar'eae Rispanicao proceres, paeenujue cum Rege Abdcrramnne consfis
114 t-utani, non videhatur tiinenda tissu Maurorutn iii lias p:Lrtes irruptio. Et mincit in annalihus Bertinianis prodituin est tics anno DCCCIII Bnrciuoneju invasisse ao vastasse, Sic enim itlic legitur: Mauri ijarcinonam 7udaeis /rodentbus caftiunl,' intetjeclisqut pene OIn,1i/US Cliristianis & urbe vastatez, inftune redeunt. :ItaqITe oportet sut rnrsnin bellum fuisse coin aut refereuda ista suit ad irruptionem Muzae in innrca,n l]ispanioam vol dorique ad Maures italicae orne domitores. Histoire generaie de Languedoc. Tom. iL p. 151. llhistorien qui rapporte l'entreprise des Sarasius sur la ville de Narbonne, fait mention quelques lignes auparavant d'ut, fait singulier,qui arriva vers le môme toms (iiiiiulieh uni 1018). à Toulouse. il raconte ,,qa'Aymerio vicomte de ilochechouard ayant fait un voyage dans cette ville, accompagné dRogues soit celui-ci fut chargé de faire In eeremonie de donner un souet à un Juif à la fêle de Pâques, comme il avait toujours été e/'zesage. Il ajoute que le coup fut si violent, qu'il lit tomber parterre la cervelle & les yeux du Juif, qui expira sur le ohanipe, & que la synagogue de Zou/ouse enleva de la cathedrale de saint lettonne pour l'inhumer dans son eiinetiere'' Ce fait, qui prouve, qu'il y avoit alors un grand nombre de Juifs àTou1onse, semble confirmer celui qui est rapporté par l'auteur de la vie de S. Theodard archevêque de Narbonne, sçavoir quo l'empereur Charlemagne avoit condamné de soit les Juifs de Toulouse à être souffletez les trois principales fêtes de l'année devant la porte de la cathedrale. pool' avoir autrefois livré la ville aux Sarasiris; mais outre que cette vie est remplie de fables & d'anachronismes, il est faux d'ailleurs que les Sarasins se soient jamais rendus innitres de Toulouse. L'usage établi dans cette ville au commencement du NI siecle de donner un soufflet tous les ans â 1m Juif le joui' de raques a donc quelque antre origine que nous ignorons. Cette peine étoit déja connue au commencement du XII. siecle en une leude on peage, que les Juifs étaient obligez de payer dans le fonxbourg de Toulouse, an profit des chanoines de saint Saturnin, depuis la fête de tous les Saints, jusqu' à celle de ce saint martyr, qui tombe à la fin du Novembre. Les ,iuifs de Toulouse payuient aussi sans doute par la niéine raison, sur la fin de ce sieclo & ait du XIV. une redde - vanec de quarante-quatre livres de cire à la catliedrale de saint Etienne, qu'elle employoit pour le cierge pnschal. Veigi, Cri1ta: Volkstlitimliche dei , Juden. Band 11. p. 313. 93) 011cris. Oeuvres de Gerbert. p- 237-243. Leonis abbatis et legati epistola ad Hugoneni etiohert'im reges. p' 242. Sintulque de Hispania teniporibus Johannis pnpae. fllii Alberici, quant vos incongrue derogastis, Juliauus Cordubejisis arcliiepiscopus de mollis et diffloilioribus causis opistolam crin legatis mittens, consilium petons, non intelTogan5, quis aut qualis fuisset, scd venerationem praohens apostolicae sedi, quod sihi utile erat. quaesiv.it. Ex qua recognoscite Jiomauani eeclesiam adhuo ah
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co<strong>in</strong> aut refereuda ista suit ad irruptionem Muzae <strong>in</strong> <strong>in</strong>nrca,n<br />
l]ispanioam vol dorique ad Maures italicae orne domitores.<br />
Histoire generaie de Languedoc. Tom. iL p. 151. llhistorien qui<br />
rapporte l'entreprise des Sarasius sur la ville de Narbonne, fait mention<br />
quelques lignes auparavant d'ut, fait s<strong>in</strong>gulier,qui arriva vers le môme<br />
toms (iiiiiulieh uni 1018). à Toulouse. il raconte ,,qa'Aymerio vicomte<br />
de ilochechouard ayant fait un voyage dans cette ville, accompagné<br />
dRogues soit celui-ci fut chargé de faire In eeremonie de<br />
donner un souet à un Juif à la fêle de Pâques, comme il avait toujours<br />
été e/'zesage. Il ajoute que le coup fut si violent, qu'il lit tomber parterre<br />
la cervelle & les yeux du Juif, qui expira sur le ohanipe, & que<br />
la synagogue de Zou/ouse enleva de la cathedrale de sa<strong>in</strong>t lettonne pour<br />
l'<strong>in</strong>humer dans son ei<strong>in</strong>etiere'' Ce fait, qui prouve, qu'il y avoit alors<br />
un grand nombre de Juifs àTou1onse, semble confirmer celui qui est<br />
rapporté par l'auteur de la vie de S. Theodard archevêque de Narbonne,<br />
sçavoir quo l'empereur Charlemagne avoit condamné de soit les<br />
Juifs de Toulouse à être souffletez les trois pr<strong>in</strong>cipales fêtes de l'année<br />
devant la porte de la cathedrale. pool' avoir autrefois livré la ville aux<br />
Sarasiris; mais outre que cette vie est remplie de fables & d'anachronismes,<br />
il est faux d'ailleurs que les Saras<strong>in</strong>s se soient jamais rendus<br />
<strong>in</strong>nitres de Toulouse. L'usage établi dans cette ville au commencement<br />
du NI siecle de donner un soufflet tous les ans â 1m Juif le joui' de<br />
raques a donc quelque antre orig<strong>in</strong>e que nous ignorons. Cette pe<strong>in</strong>e<br />
étoit déja connue au commencement du XII. siecle en une leude on peage,<br />
que les Juifs étaient obligez de payer dans le fonxbourg de Toulouse,<br />
an profit des chano<strong>in</strong>es de sa<strong>in</strong>t Saturn<strong>in</strong>, depuis la fête de tous les<br />
Sa<strong>in</strong>ts, jusqu' à celle de ce sa<strong>in</strong>t martyr, qui tombe à la f<strong>in</strong> du Novembre.<br />
Les ,iuifs de Toulouse payuient aussi sans doute par la nié<strong>in</strong>e raison,<br />
sur la f<strong>in</strong> de ce sieclo & ait du XIV. une redde -<br />
vanec de quarante-quatre livres de cire à la catliedrale de sa<strong>in</strong>t Etienne,<br />
qu'elle employoit pour le cierge pnschal. Veigi, Cri1ta: Volkstlitimliche<br />
dei , Juden. Band 11. p. 313.<br />
93) 011cris. Oeuvres de Gerbert. p- 237-243. Leonis abbatis et<br />
legati epistola ad Hugoneni etiohert'im reges. p' 242. S<strong>in</strong>tulque de Hispania<br />
teniporibus Johannis pnpae. fllii Alberici, quant vos <strong>in</strong>congrue <strong>der</strong>ogastis,<br />
Juliauus Cordubejisis arcliiepiscopus de mollis et diffloilioribus causis<br />
opistolam cr<strong>in</strong> legatis mittens, consilium petons, non <strong>in</strong>telTogan5, quis<br />
aut qualis fuisset, scd venerationem praohens apostolicae sedi, quod sihi<br />
utile erat. quaesiv.it. Ex qua recognoscite Jiomauani eeclesiam adhuo ah