Zur Referenz der französischen Pronomina il, lui ... - Cognitive Science

schiedenem Numerus (z.B. eux – lui) oder divergentem Genus (z.B. elle – lui)
im Diskurs gewechselt wird, wie in (34):
(34) La jeune fillei repartit. Maintenant, la lumière que versait le ciel sur la campagne
ne lai blessait plus. En chemin, ellei se retournait de temps en temps
afin de rassembler autour d’ellei tout le paysage.
Alors ellei se trouva tout à coup en face de George Durieuxk.
Ellei étouffa un cri, parce qu’ellei ne lk’attendait pas, et ne lk’avait pas entendu
et luik lai regarda, plein d’incertitude. Dans la lumière tamisée et douce, ilk
prit aux yeux de Maudi un relief qu’ellei ne luik connaissait pas. Sa nature
était celle d’un paysan et sa stature, celle d’une bête toujours prête à la lutte. Ilk
ne faisait rien, comme toujours, et sa force si grande et si inutile embarrassait
son souffle et ses gestes.
- Tu rentrais? Tu m’as fait peur, c’est idiot...
S’étant reprise, ellei sourit et mit sa main à plat contre sa poitrine.
De ce geste léger ellei se protégeait de la présence insolite qui rompait sa solitude.
Luik s’empêtra dans son trouble, et brusquement, ilk parla :
- Tu fichais le camp encore une fois? Avoue...
(Duras, Les Impudents, S. 195)
Maud, bzw. la jeune fille, ist hier das Topik, wie aus dem ersten Abschnitt hervorgeht,
Georges Durieux steht, in dem Moment wo er im Kontext erscheint, im
Fokus. Im darauffolgenden Satz aber rückt Maud wieder in den Vordergrund.
Lui, in Satz fünf, sorgt für eine Art „Kameraschwenk“ und lenkt die Aufmerksamkeit
wieder auf Georges. Ab der ersten wörtlichen Rede bildet schließlich
wieder Maud das Thema; im vorletzten Satz erfolgt durch lui erneut ein Wechsel
zu Georges. Eine vergleichbare Funktion übernimmt das pronom disjoint
auch in Beispiel (35):
(35) Massoni et moik, nous avons attendu un peu. Luii parlait lentement et jk’ai
remarqué qu’ili avait l’habitude de compléter tout ce qu’ili avançait par un « et
je dirai plus », même quand, au fond, ili n’ajoutait rien au sens de sa phrase. À
propos de Marie, ili mk’a dit : « Elle est épatante, et je dirai plus, charmante. »
Puis jek n’ai plus fait attention à ce tic parce que jk’étais occupé à éprouver que
le soleil mek faisait du bien. Le sable commençait à chauffer sous les pieds. Jk’ai
retardé encore l’envie que jk’avais de l’eau, mais jk’ai fini par dire à Massoni :
« On y va ? » Jk’ai plongé. Luii est entré dans l’eau doucement et s’est jeté
quand ili a perdu pied.
(Camus, L’Étranger, S. 79f)
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